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 A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot )

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« Bakaï Renji »
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MessageSujet: A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /! Pegi 18 > Hot )   A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot ) Icon_minitimeLun 11 Juil - 20:36

    J’avais fait un service de l’après midi, j’étais un peu crevé et je mourrais d’envie de rentrer chez moi, je laissais une note pour le service suivant avant de partir, pour leur annoncer qu’il y avait de nouveau du bordeaux 86 que les clients réclamaient de temps en temps. Nous étions fin de semaine et comme tout les deux Vendredi de chaque mois, j’avais droit à un horaire adapté à condition que je fasse beaucoup de soirée le reste du temps pour pouvoir aller récupérer Sho chez Ayame. Même si nous étions séparé et divorcé, pour notre bout chou nous nous entendions toujours bien. J’avais le petit mes weekends, mes jours fériés quand je le pouvais avec mon travail. Il faisait bon et j’avais envie de profiter un peu encore de la fin de journée avec mon fils et pourquoi pas la femme que j’aimais, car oui depuis un peu plus de deux mois maintenant je n’étais plus célibataire et je le devais à une ravissante demoiselle de dix ans ma cadette, nous pouvions choquer par notre différence d’âge mais personnellement je m’en moquais, elle me faisait vivre un rêve même si nous n’avions pas beaucoup l’occasion de nous voir.

    J’envoyais un texto à Maria pour lui demander si elle voulait et surtout si elle pouvait passer à la maison pour une soirée tout les trois dans un premier temps puis après rester en tête à tête, pour enfin un petit moment romantique :

    «  Coucou princesse, est-ce que passer un début de soirée avec les hommes de ta vie te tenterais ? Sho à très envie de voir sa superbe belle maman qui s’occupe merveilleusement bien de lui ( et c’est lui qui le dit ^^ ) Quand à son papa, il veut voir la femme qui à fait de lui un homme nouveau car ses bras lui manquent et qu’il a très envie de l’embrasser. Tient moi au courant. Ps : je passe au supermarché pour acheter des couches et des petits pots pour le petit. Aishiteru »

    Je ne cherchais pas son numéro longtemps dans mon répertoire car elle était à la première place et j’appuyais sur envoyer avant d’attacher mon petit homme dans son siège bébé avec toutes les sécurités prévue pour qu’il ne soit pas blessé en cas d’accrochage, de plus je ne roulais pas vite quand il était là. Je montais à mon tour dans ma voiture et nous mis en route pour le centre commercial en écoutant Daite Senorita de Yamashita Tomohisa le chanteur de j pop et surtout acteur de très bon dramas. Je poussais le vice à chanter en même temps que l’artiste ce qui faisait rire mon fils, dont le rire remplissait mon cœur de joie, avoir un enfant m’avait changé car avant j’étais un peu plus égoïste maintenant avant de me prendre un truc qui me plait, je réfléchis si cet argent ne pourrait pas servir à Sho ou à Maria car oui il fallait que je pense aussi à elle-même si je n’avais aucun mal pour cela, elle était et est toujours aussi merveilleuse. En arrivant au petit supermarché pour prendre ce que j’avais besoin pour le petit, l’installant dans sa poussette, je marchais dans les allées prenant ce dont j’avais besoin et ce qui pourrait servir à un apéritif sans alcool avec Maria. Au bout de vingt minutes j’allais enfin à la caisse pour payer et dire de retourner chez moi, là je mettrais le petit dans son parc le temps de regarder mon courrier si Maria venait il faudrait aussi que je prenne une douche car j’avais servit un peu les tables étant donné que nous avions eu une grosse journée et puis je n’aimais pas ne pas être propre après une journée et encore moins en sa présence. A la sortie Sho voulu faire un tour sur un jeu pour enfant, voyant combien cela pouvait lui faire plaisir, je l’y mis deux fois, en suite nous rentrions et c’est là que j’eux une belle surprise.
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Kondo Maria« Kondo Maria »
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MessageSujet: Re: A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot )   A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot ) Icon_minitimeLun 11 Juil - 22:39




    « Kondo ! Au lieu de bailler aux corneilles comme à votre habitude, vous pourriez peut-être m’expliquer en quoi la résistance en France a été exemplaire ? »
    « Eh ? Nani ? La résistance… oh je… ano… je… j’ai s-sans doute un peu perdu le fil… gomen nasai ! »
A ces mots, le professeur d’histoire-géographie dont la patience a sans nul doute des limites me dévisage avec de grands yeux ahuris. De même, je le fixe un instant de la même manière puis finis par baisser les yeux, rougissant jusqu’aux orteils. Il a ce petit regard de désespoir mêlé d’incompréhension que beaucoup me lancent et que j’ai fini par détester. Ce n’est pas de ma faute si je suis presque constamment dans les nuages. Je n’arrive pas à m’intéresser au rôle joué par les résistants français pendant la Seconde Guerre Mondiale, ni aux changements climatiques du siècle dernier et encore moins aux haïkus d’un auteur apparemment célèbre. Qui s’y intéresserait de toute façon ? Aucun professeur ne voit-il que tous ces élèves ne sont qu’un seul et même groupe de cachalots morts sur une plage californienne ? Ils ont le cerveau éteint toute l’année. Surtout les deux jumeaux du dernier rang, juste derrière moi, qui s’amusent en ce moment-même à donner de petits coups de pieds dans ma chaise en ricanant. Deux neurones, un chacun et encore, je me trouve bien clémente.

Le regard du professeur dévie enfin de mon visage au moment exact où la sonnerie de fin de cours retentit. Il a l’air toujours plus perplexe au fur et à mesure que j’ai sans doute atterri d’une planète encore inconnue à ce jour. Vous voyez la tête qu’un martien ferait en entendant parler terrien ? Eh bien moi c’est pareil. Tout le monde me croit à côté de mes pompes et mes seuls amis sont dans des classes différentes ou bien ne sont tous simplement pas scolarisés à Hosei. A peine la sonnerie a-t-elle commencée que j’ai déjà rassemblé toutes mes affaires – qui consistaient en une minuscule trousse en cuir, un classeur et leur livre d’histoire – dans mon sac et attends impatiemment que le chef de classe nous autorise à nous lever et saluer le professeur avant de partir. Une fois que nous sommes enfin libres, je me mets à courir à toutes jambes dans les couloirs malgré l’interdiction formelle d’y courir, vers le secrétariat. Ce weekend, j’ai décidé qu’il se passerait quelque chose, que nous cesserons enfin de tourner autour du pot. Même si mon cœur se serre de peur et d’anticipation en y pensant, je n’arrête pas de courir. Nous avons tous les deux besoin d’un weekend entier ensemble. J’ai envie de lui montrer, cette fois, à quel point je lui appartiens et il m’appartient. Contrairement à ce qu’on peut lire dans les romans à l’eau de rose, je ne me sens pas plus prête qu’avant, j’en ai juste besoin plus que de nature. Même quand j’en parle je tourne autour du pot, c’est n’importe quoi. J’ai juste besoin de lui, là maintenant tout de suite et plus longtemps qu’une ou deux heures. J’entre comme une tornade dans le secrétariat.
    « J’ai besoin d’une autorisation pour rentrer chez moi ce weekend, s’il vous plaiiit ! »
    « Bonjour, Kondo-san. On frappe en entrant… Bon, as-tu terminé les cours ? »
    En voyant que j’acquiesce vivement de la tête, elle enchaîne. « Voyons voir. La dernière fois que tu es rentrée c’est… Ah jamais en deux ans ! Quelque chose d’exceptionnel ce weekend ? »
    « Eto… L’anniversaire de mon père ! »
    « Eh bien ! Attends une petite minute, je te fais ça. »
Enfin ! Ce n’est pas trop tôt ! Pendant que la secrétaire cinquantenaire prend tout son temps pour rédiger cette fichue autorisation de sortie, je piétine devant son bureau, comme un pur-sang au départ d’une course. Je ne suis pas sous amphétamine, ni sous quelque excitant que ce soit, j’ai juste prévu ce weekend depuis une semaine et je n’en peux plus d’attendre. On se voit si peu que je n’ai pas l’impression d’être entièrement à lui. Et j’avoue qu’au fond, même si je sais qu’il est sérieux, j’ai peur qu’une autre arrive et prenne ma place. Je n’ai que dix-huit ans alors dire ce genre de chose peut être un peu prématuré mais je ne supporterais pas qu’il me tourne le dos pour une autre. La jalousie est peut-être une des plus belles preuves d’amour mais qu’est-ce que c’est douloureux et angoissant… Quand enfin, par miracle, elle me tend l’autorisation et ouvre la bouche pour ajouter quelque chose, j’attrape la feuille de papier, la lui arrachant presque des mains, et détale comme une voleuse. Dans ma chambre, tout est déjà prêt. Le petit sac noir avec mes affaires pour le weekend et un cadeau bien caché pour le petit. En passant devant cette boutique, je n’ai pas pu résister à cette peluche de panda. Il était tout simplement à croquer. Je n’arrête de courir qu’une fois à l’extérieur de l’établissement.

Il me tarde de le voir à nouveau, qu’il me serre contre lui et m’embrasse. J’ai comme l’impression que je vais me consumer de tant d’attente, comme une cigarette abandonnée sur un cendrier. Il habite à l’autre bout de Tokyo et le bus met un temps anormalement long à venir. Je ne peux pas y aller à pieds. Je ne sais pas par où passer. Le bus, lui, m’amène directement à la station de métro et la bouche de métro, juste devant chez lui. C’est vraiment ce que je déteste, le métro. Je dois être maudite par le Roi des Démons ou peut-être par la déesse Hannya, mais dès que j’ai le malheur d’entrer dans une rame, je suis la seule fille potable, voire la seule fille tout court donc à peu près tout le temps, j’ai droit au vieux pervers qui tente une technique de drague de l’an quarante. Aujourd’hui, j’ai voulu m’habiller normalement, pour passer inaperçu, donc un marcel blanc, un jean et des Doc Martens qui commencent à me tenir chaud, mais là encore je dois être maudite ou alors vraiment très conne, car je ne remarque que maintenant que mon débardeur est trop petit et m’arrive à peine sous le nombril. Le jean étant très taille basse, je vous laisse imaginer le résultat : je me tasse derrière une petite mamie qui tient son sac de courses contre elle. Pour une fois, le voyage se passe étrangement bien jusqu’à Shibuya. Je n’y crois pas, il va forcément se passer quelque chose.

Les portes du wagon s’ouvrent et je dois m’aplatir contre elles pour avoir une chance de braver le flot incessant de gens qui montent sans même me laisser descendre. Dehors, dans la station, je ne m’arrête pas et marche, ou plutôt zigzague, jusqu’à la sortie. J’ai l’impression d’être la Petite Sirène à qui on a enlevé la queue et offert deux jambes, je n’arrive pas à respirer avant d’avoir atteint la surface. L’immeuble dans lequel il habite est juste là. Je n’ai que quelques pas à faire pour me trouver dans le hall. Depuis le temps que je viens, le concierge me reconnaît, sauf qu’il me prend pour la nounou. Avec un petit sourire contrit, il trottine vers moi dans ses getas de bois.
    « Bonjour ! Vous êtes vraiment en avance aujourd’hui ! Bakaï-san est sorti avec son fils il y a une vingtaine de minutes. »
    « Ah… Ano… Je vais les attendre en haut alors. Hontou ni arigatou~ »
Sorti ? Je sais que j’ai peut-être trop tendance à me fier aux habitudes, mais il est toujours là quand j’arrive le vendredi. Il sait que je viens systématiquement… Mon cœur se serre tandis que je prends l’ascenseur comme un fantôme. Je ne rencontre personne jusqu’à leur étage. Le palier est vide. Je ne frappe même pas. Et s’il avait oublié ? Et s’il était sorti avec une autre femme ? Non, je suis paranoïaque, là. Il n’aurait pas emmené Sho si c’était le cas. Un peu sonnée, je me laisse glisser par terre, dos contre la porte d’entrée de son appartement. Mon sac sur les genoux, je le fixe inlassablement. Les secondes paraissent des minutes et les minutes des heures. J’ai toujours le cadeau dans le sac et cette irrésistible envie de le voir. Peut-être qu’en fait, je me fais des idées et qu’il est juste sorti faire des courses. Pour consulter l’heure, je sors automatiquement mon téléphone. Un message. De lui. Mon cœur rate un battement et repart au quart de tour.
    « Coucou princesse, est-ce que passer un début de soirée avec les hommes de ta vie te tenterais ? Sho à très envie de voir sa superbe belle maman qui s’occupe merveilleusement bien de lui ( et c’est lui qui le dit ^^ ) Quand à son papa, il veut voir la femme qui à fait de lui un homme nouveau car ses bras lui manquent et qu’il a très envie de l’embrasser. Tient moi au courant. Ps : je passe au supermarché pour acheter des couches et des petits pots pour le petit. Aishiteru »
Merde. J’ai les larmes aux yeux. Ce n’est vraiment pas possible d’être aussi bête. Comment ai-je pu croire qu’il avait oublié ? C’est juste moi et ma cervelle de moineau qui avons oublié de consulter les messages. Et ce petit message-là attend depuis vingt minutes. Exactement comme ce que m’a dit le concierge. Soupirant longuement, je pose le téléphone contre mon front. Inutile de lui répondre, il sera de retour sous peu et je tiens à lui faire la surprise. D’ailleurs je crois que je reste une dizaine de minutes dans la même position car quand la sonnerie de l’ascenseur me fait reprendre pieds, ceux qui en sortent sont des visages familiers. Dans une vie, on rencontre des milliers de gens, et aucun d’eux ne nous touche. Et tout d’un coup, on rencontre cette personne et votre vie est changée pour toujours. C’est ce que je ressens en le voyant approcher, tenant son tout petit dans ses bras. Il y a des sentiments qu’on ne peut exprimer avec des mots alors, je me lève, me prenant les pieds dans les lanières de mon sac, mais l’atteint tout de même et me faufile dans ses bras, tout contre son torse et l’enfant. Chaque jour, je croise des centaines de regards dans la rue, dans les couloirs, le métro. Pourquoi ce regard-là a-t-il tant compté ? Il n’y avait aucune raison et pourtant, il a tout changé irrévocablement. Impossible de m’en détacher, de ce regard, jusqu’à ce que j’ai enfin le courage de me hisser sur la pointe des pieds pour lui voler un baiser.
    « Konbanwa, Ren. Désolée de ne pas t’avoir répondu, je… je n’ai pas senti mon téléphone vibrer. Je suis contente de te voir. »
C’est toujours pareil en sa présence. Premier regard, premier baiser et je suis incapable de faire silence. Pour une fois, tais-toi Maria. Je l’embrasse à nouveau avant de m’écarter avec réticence pour embrasser Sho sur la joue. Mon dieu ce qu’il est beau, autant que son père. Je crois qu’on ne peut pas être plus heureuse que moi en cet instant.
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« Bakaï Renji »
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MessageSujet: Re: A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot )   A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot ) Icon_minitimeMer 13 Juil - 0:46

    J’aimais les fin de semaines comme celle-ci, j’avais Sho, j’allais certainement voir Maria, la femme de ma vie avec qui j’avais pas mal de projets que je tenais encore un peu secret mais je comptais lui demander qu’elle vienne vivre à l’appartement avec moi dans peu de temps, sans elle, je n’étais rien et j’avais besoin de sa chaleur, de son sourire, de ses bras, de ses lèvres … J’avais besoin d’elle tout simplement, elle m’avait reconstruit après mon divorce dont j’avais eu du mal de me remettre. Surtout que ce divorce c’est moi qui l’avait provoqué en couchant un soir avec une collègue qui était une amie également. Un moment de faiblesse qui était arrivé, mais après ce malheur que j’avais provoqué alors que mon couple battait un peu de l’aille, il y avait eu un soir quelques mois plus tard cette rencontre, celle avec une belle blonde qui a fait chavirer mon cœur. J’étais célibataire et elle aussi mais durant un mois nous nous sommes dragué, cherché mutuellement, elle venait au bar avec une amie je présume et j’allais les servir systématiquement, jusqu’au soir ou je lui ai indiqué la fin de mon service, et de là tout c’est accéléré il était passé vingt-trois heures quand nous nous vu dans la rue qui donnait sur la porte d’entrée de service de mon lieu de travail, un instant plus tard nous partagions notre premier baiser et le second ne tarda pas à suivre.

    Je passais vite à l’appart, voir ce dont j’avais besoin, une liste de course notée et un texto prévenant Maria que je serais un petit peu en retard, plus tard, je déambulais dans les allées d’un supermarché prenant vite tout ce que je voulais, le passage à la caisse fut rapide aussi, Sho voulait aller dans un manège, je lui en paya deux séances amusé le petit riait de bon cœur et cela me rendait heureux de le voir ainsi, je regardais mon téléphone, aucune nouvelles de Maria, je me dis qu’elle devait être encore en cours ou que son crédit devait être épuisé, j’espérais juste qu’il ne lui soit rien arrivé de grave si rentré chez moi, je n’avais pas encore de ses nouvelles, je l’appellerais. Je mis les courses dans le coffre de la voiture après avoir bien sécurisé Sho pour la route, on était toujours prudent et ce petit homme était ma chair, ma vie, une partie de moi. En rentrant je voyais monsieur Miasaki notre concierge ramasse des déchets trainant sur les galets de bois, ne m’arrêtant pas, je partis de suite me garer à la place de parking au sous sol, descendant de la voiture, je regarde de nouveau mon téléphone oubliant que je n’ai jamais de réseaux ici, bien ma veine soupirant un peu de désespoir avec une grosse inquiétude naissante, je détache Sho et prend les courses aussi, me dirigeant vers l’ascenseur, je me dis que la première chose que je fais après avoir déposé mon fils dans son parc, c’est de l’appeler, j’étais vraiment trop inquiet … Les étages sont un enfer pour moi cette fois l’inquiétude me gagne de plus en plus, je tenais Sho qui devenait un peu grognon dans mes bras, il doit avoir faim, c’est sa mère tout craché sur ce trait de caractère, un peu fâché quand l’heure d’un repas approche ou sent il tout simplement mon inquiétude ? Possible j’avais lu dans un bouquin qu’un enfant ressent facilement vos émotions. Plus que quelques secondes avant d’arriver à notre étage, je soupire de soulagement elle était là, je comprend mieux pourquoi elle ne me répondait pas, elle me faisait une surprise, je la vois se prendre les pieds dans son sacs avant qu’elle ne plonge dans mes bras, un premier baiser volé, je la serre contre moi en passant mon bras autour de sa fine taille, soulagé et heureux qu’elle soit là en bonne santé, par contre je remarque qu’elle a pleuré, ses yeux étaient un peu rougis, je la consolerai après car avant je profite de ses lèvres une première fois avant de l’écouter « Konbanwa, Ren. Désolée de ne pas t’avoir répondu, je… je n’ai pas senti mon téléphone vibrer. Je suis contente de te voir. » je lui souris même pas fâché après elle, sur un petit nuage comme à chaque fois que je suis avec elle.

    « Konbanwa mon amour. Ne t’inquiète pas, cela arrive. Le plus important c’est que tu sois en bonne santé et surtout que tu sois là. Belle surprise que tu me fais là. Je suis heureux de te voir aussi. »

    Nouveau baiser échangé avec tendresse, elle s’écarte un peu pour embrasser Sho sur la joue qui éclate de rire, tient, il n’avait pas faim alors Bakaï junior. Je suis le plus heureux des hommes j’avais les êtres plus cher à mon cœur, j’ouvre la porte après avoir à contre cœur lâché Maria, je la laisse entrer en premier galanterie oblige, fais deux autres choses avant tout car j’avais une grosse envie de câlin dans les bras de Maria, je dépose vite fais les courses dans la cuisine, avant de mettre Sho dans son parc, pour finalement enfin m’occuper de ma douce qui s’était débarrassée elle aussi, je l’attrape par la taille, la ramène tout contre moi, dépose un baiser sur on front, je libère ensuite une de mes mains pour la passer tendrement sur son doux visage, lui souriant je prend quelques secondes la parole pour lui demander pourquoi elle avait pleuré et la remercier pour cette merveilleuse surprise qu’elle venait de me faire.

    « Princesse, tu sais que tu es la plus merveilleuse des femmes ? Tu viens de me faire une très belle surprise ! Je suis heureux de te voir. Mais une question, pourquoi as-tu pleuré ? »

    J’écoutais sa réponse mais j’en pouvais plus, à la fin de son explication, je lui passa ma main de nouveau dans les cheveux avant d’amener mes lèvres sur les siennes pour un baiser enflammé, dieu que c’était bon de pouvoir l’embrasser ainsi. J’entendais les rires cristallins de Sho qui semblait amusé par la situation, mon fils un jour comprendra que les femmes sont le plus beau cadeau que nous les hommes ayons sur terre tout comme il comprendra que Maria est la femme qui fait battre mon cœur et qu’un jour elle porterait notre nom.
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Kondo Maria« Kondo Maria »
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MessageSujet: Re: A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot )   A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot ) Icon_minitimeMer 13 Juil - 21:49

Habitué à mes baisers, Sho m’a attrapé une mèche de cheveux et s’amuse à tirer dessus. Il ne me fait pas mal et est tellement mignon quand il fait ça que je le laisserais m’arracher les cheveux un par un si ça l’amusait. Peut-être pas à ce point, à tout bien y réfléchir, mais ce bout de chou est le plus bel enfant du monde. Seulement, comme une gamine jalouse des ex de son petit copain, je déteste imaginer sa mère en sachant qu’elle était aussi la femme de Ren. C’est insupportable comme pensée. La plupart du temps, j’évite d’y penser mais parfois c’est plus fort que moi. Elle était là avant, dans ce canapé où Ren a l’habitude de me prendre sur ses genoux, à cette table où nous prenons les repas, à tenir Sho dans ses bras et Renji aussi. Alors quand j’y pense, invariablement il faut que j’aille me jeter dans ses bras et l’embrasser. Peu de gens savent ce que c’est que d’aimer inconditionnellement sans pouvoir se contrôler, de ne jamais penser qu’à une seule personne, de ne pouvoir dormir que si on rêve de celle-ci. J’avais peur de l’amour avant qu’il ne m’atteigne et transforme les ténèbres en lumière éternelle. L’amour c’est la certitude que la personne qui vous aime sera toujours là quoi qu’il arrive, ressentir le manque quand vous êtes séparés mais le garder tout le temps dans votre cœur. L’amour c’est l’assurance de la sécurité. L’amour c’est la vie et j’en suis à présent convaincue.

Bien serrée dans ses bras, j’ai l’impression d’être dans un paradis cotonneux qui nous enveloppe dans un monde à part, le nôtre à Ren, Sho et moi. Ici, dans ce couloir isolé, je n’ai pas peur qu’on nous découvre. Car si un jour quelqu’un apprend que nos dix ans de différence font de moi une mineure, il sera accusé de détournement de mineur quoi que j’en dise. J’aurais beau hurlé que j’ai toujours été consentante pour tout et que je l’aime, mon avis ne comptera pas. C’est pour cela que je n’ai accepté d’avoir une relation avec lui qu’à condition qu’elle soit cachée. Parce que dès le début, j’ai su que jamais je ne pourrais le lâcher aussi facilement que j’ai pu larguer les autres. Je ne pourrais sans doute jamais le lâcher. Même si un jour, ses sentiments changent, même si une autre venait à prendre ma place, je me battrais bec et ongles pour lui. Je l’aime. Je suis devenue celle que je suis grâce à lui, à ces deux mois passés avec lui. Il est devenu ma raison de vivre, et quoi que le futur nous réserve, chaque jour que nous passons ensemble est le plus beau de ma vie. Et je lui appartiendrais toujours. Ses mots pourtant simples et doux me touchent droit au cœur et inévitablement, les larmes me montent aux yeux. Tout comme je pleure devant tous les films que je regarde, je pleure devant notre propre histoire d’amour. Il ne s’imagine pas encore la vraie surprise qu’il y a derrière tout ça.

Il y a juste un petit problème qui n’en est pas vraiment un, Sho. Pour son propre bien, et pour préserver encore son innocence, il faudra réussir à convaincre son papa-poule de le confier à une nounou – et une vraie cette fois – pour que nous soyons seuls durant cette soirée. Mais son père est comme qui dirait un peu possessif et inquiet. Un autre jour, je n’aurais pas rechigné à le garder. Il me semble pouvoir jouer des heures avec lui et son père. Comme une vraie famille. Bien qu’il m’ouvre la porte et me laisse rentrer sous les yeux de son fils qui rit aux éclats depuis qu’il est arrivé, je lui vole un dernier baiser. Friande de ses lèvres. Pendant qu’il dépose Sho dans son parc où il se met à gambader joyeusement et fonce dans la cuisine, je retire mes chaussures dans l’entrée en bois puis entre dans cet environnement à présent connu par cœur. Mon sac va automatiquement trouvé sa place à côté du canapé, presque tout seul comme un grand. Je n’en suis pas encore arrivée à cette alternative car je doute qu’il réussisse à se déplacer tout seul jusqu’à sa place. Finalement, j’enjambe la petite grille du parc de Sho et m’assoit en tailleur pour jouer avec lui en attendant. Il grimpe sur mes jambes en tailleur et vient s’amuser à poser ses petites mains sur mon visage. Je ne sais pas ce qu’il imagine mais ça le fait beaucoup rire. J’adore l’entendre. Ce rire de bébé est sans doute une des plus belles mélodies qui existent. Il attrape doucement mes cheveux, joue avec mes boucles d’oreilles créoles sans pour autant tirer dessus puis retombe sur les fesses en riant.

C’est ce moment-là que trouve son papa pour revenir dans le salon. Tandis que Sho retourne jouer dans son parc, je me lève, saute par-dessus la barrière et me jette dans ses bras. Il me rattrape. Une vraie force de la nature, la force tranquille dont j’ai besoin plus que tout. Je me retrouve complètement dedans lui, entre ses bras et je dois lever la tête pour le regarder. Quand il m’embrasse sur le front, je me hisse sur la pointe des pieds pour embrasser son menton. Mes mains s’accrochent à son haut. La sensation de ses doigts sur mon visage est la plus douce des caresses. Je me sens fondre entre ses doigts comme un petit iceberg. J’aimerais rester indéfiniment comme ça, entre ses bras, à sentir ses lèvres et son souffle chaud sur mon visage. Je pourrais l’écouter parler des heures, même si à la fin, ce qu’il dit n’a plus d’importance, même s’il me parle de la météo ou de l’ampoule grillée dans la salle de bain. Sa voix est le plus merveilleux des calmants. Son silence de même. J’aimerais n’avoir pas à répondre et briser ce calme mais pas le choix. Il s’inquièterait si je ne lui répondais pas alors que tout va bien dans le meilleur des mondes.
    « C’est toi qui est merveilleux, hm. Je n’ai pas pleuré, j’ai failli. Mais c’est à cause de toi, vilain… Tu m’as fait peur… Je ne savais pas où vous étiez et mon portable… je l’ai pas senti… Je suis bête. »
En réalité, j’ai à peine le temps de terminer ma phrase que sa main s’est glissée telle un serpent dans ma nuque et il a scellé nos lèvres dans un baiser bien plus fougueux que les précédents. Mes mains se faufilent à l’arrière de sa tête pour le garder contre ma bouche. Comme en bruit de fond, son fils rit aux éclats en nous voyant, une ambulance passe dans la rue en bas et un couple à l’étage se dispute. Il n’y a plus personne, personne d’autre que nous en ce monde et nous allons vivre une vie heureuse ensemble sans que personne ne nous le reproche. Au bout d’un très long moment, alors que nous allons finir par manquer d’air, je m’écarte à peine pour pouvoir prendre une grande inspiration mais reste tout contre lui, mon visage à quelques centimètres du sien. Nos souffles se mêlent. Je ne regrette pas ma décision et je compte bien mener mon plan à bout. Mes doigts caressent ses joues. Impossible de résister à son regard si doux. Ma voix n’est qu’un murmure quand je prends la parole :
    « Tu sais, la surprise… En fait il y en a deux. D’abord une pour Sho-chan ! »
Okay, on commence par la surprise la moins importante et ensuite, la meilleure. Je me détache de son étreinte en riant, beaucoup plus joueuse que je ne le serais avec d’autres, et trottine vers mon sac pour en extraire la belle peluche. Elle m’a coûté un bras, mais ça m’est égal. Elle était tellement belle que je l’ai trouvée parfaitement digne de ce petit bout de chou. Avec un clin d’œil joueur en direction de Ren, je pénètre de nouveau dans le parc et m’accroupit devant Sho qui regarde la peluche avec des étoiles dans les yeux. Je pose la peluche sur mes genoux et me penche doucement vers lui.
    « Nee, Sho-chan. Tu vois, j’ai trouvé ce petit panda en venant. Il était tout seul et il m’a dit qu’il cherchait une maison alors je me suis dit que tu serais très content de t’en occuper. Tu veux bien faire ça, mon chéri ? »
Je ne sais pas s’il comprend tout ce que je dis, mais toujours est-il qu’il tend les bras vers la peluche avec un rire délicieux. Il attrape le panda et, avec une étrange délicatesse pour un enfant de son âge, la serre contre lui. Cédant enfin à mon envie, je me penche sur lui et l’enlace doucement en l’embrassant sur la tête. Il est tellement beau et gentil. Je sais. Je n’aurais qu’à me dire qu’il est de nous, nous deux, à partir de maintenant. Enfin, le laissant jouer avec son nouvel ami, je me relève et ressort du parc pour rejoindre Ren. Je prends sa main et le tire doucement vers le canapé sur lequel je me laisse tomber avec toute la douceur dont je suis capable et attend qu’il m’y rejoigne pour me blottir dans ses bras, recroquevillée comme un bébé.
    « Et la deuxième surprise c’est que… Je suis libre jusqu’à lundi matin. La secrétaire a accepté ma demande d’autorisation de sortie. Alors si… si tu veux bien m’héberger, je suis à toi tout le weekend… »
Mes joues flambent au fur et à mesure que les mots sortent de ma bouche. J’ai presque honte de lui demander de m’héberger, même si je suis sûre qu’il ne refusera pas. Relevant doucement la tête vers lui, je n’ose toujours pas le regarder dans les yeux. Nos mains se rejoignent, nos doigts s’entrelacent.
    « Je me disais que… Non. J’ai décidé que ce weekend serait exceptionnel. J’aimerais qu’on ne soit que tous les deux, coupés du monde. Juste un weekend. Je crois que… qu’on a tous les deux besoin de ça. On ne sort pas, pas de téléphone sauf urgences… Tu es d’accord ? »
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MessageSujet: Re: A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot )   A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot ) Icon_minitimeJeu 14 Juil - 22:40

    Je venais d’arriver à l’étage ou se trouvait mon appartement avant de rentrer des courses avec mon fils dans mes bras quand je la remarqua, elle se jeta dans mes bras et un premier baiser fut échangé. Puis elle embrassa le petit qui commençait déjà à jouer avec elle, je regarde cette scène attendris, mon bout chou à déjà adopté celle qui fait battre mon cœur. Heureusement qu’il est encore petit pour comprendre quoi que soit, je crois qu’il s’en moque de toute façon, que cela soit avec Ayame ou Maria il a autant d’amour de l’une que de l’autre. Maria s’en occupe énormément, une vraie seconde maman à mes yeux, l’instinct maternel est déjà présent, ce n’est pas de la comédie pour me plaire, elle aime vraiment Sho comme son fils, cela se voit, une complicité entre le bébé qu’il est encore et cette jeune demoiselle est réelle. Je profite un peu d’elle et de ses bras dans ce couloir qui est le témoin de notre amour, de notre passion de ce feu sacré qui brule entre deux être qui s’aime. Oui j’ai dix ans en plus qu’elle mais j’en réellement suis amoureux, qu’importe si je dois me cacher pour vivre notre romance, je la vis pleinement. Je la veux pour moi seul, ne voulant pas la partager avec les autres, mes amis auront le temps de la connaitre plus tard, non pas que je suis honteux d’elle, mais j’ai si simplement envie de passer mon temps libre juste tout les deux. Clef tournée, porte poussée, je laisse rentrer la femme qui fait battre mon cœur en premier après un dernier baisé volé sur le palier, je suis un homme galant, je dépose le petit dans son parc après avoir été mettre les courses dans la cuisine. C’est qu’il prend des forces mon sportif, si petit il aime gambader, jouer, il est pleins d’énergie cet enfant.

    Dire que quelques instant avant, Maria était dans mes bras, là ou pour un photographe cela aurait fait une parfaite photo de famille, une femme un enfant un homme, tout trois remplis d’amour pour les deux autres, unis, un ensemble, on aurait pu croire que la belle blonde était la mère du petit, malheureusement non, car âgé de deux notre fils aurait été conçu alors qu’elle était trop jeune, je suis amoureux d’une femme de dix ans ma cadette oui, mais je ne suis pas un détraqué. J’ai été marié avant cela, même si je le regrette pas, le divorce a été dur, je vis toujours dans le même appartement, mais d’elle, il ne reste plus aucune trace ou presque du passé … seule des photos restent mais ce sont celles de la naissance de Sho, ou nous sommes pris tout les trois. Mais plus rien d’autres, enfin si mais le petit n’est pas une chose, même si Ayame l’a porté durant presque neuf mois ( Sho est né une semaine avant terme ) il est en partie de moi aussi. Après m’être inquiété de ne pas avoir eu de réponse à mon message, je la regardais tendrement alors qu’elle jouait avec le bambin, là je me mis à rêver de cet appartement un peu transformé avec une touche de féminité, des photos de nous trois avec Maria et le petit ceci à un détail près sur une d’entre elles, Maria portant une jolie robe blanche sur son joli ventre tout rond, Sho est un peu plus grand et comme moi il porte un smoking, souriant heureux le jour du mariage. Il y avait aussi cette photo ou nous nous embrassions avec la douce et belle demoiselle postée devant un bouquet de roses rouges. Je me voyais aussi l’embrasser sur le canapé comme nous le faisions couramment mais cette fois elle avait toujours ce petit ventre rond et nous nous enlacions tendrement quand elle m’annonçait quel était le sexe de l’enfant.

    Ce sont les rires cristallins de Sho qui firent revenir d’un coup à la réalité, il vient de retomber sur ces fesses avec sa bonne humeur contagieuse, je le regarde avec le ce regard fier que j’avais parait il quand je posais les yeux sur ce futur charmeur, Maria elle en profite pour se jeter dans mes bras, tant mieux j’ai envie de câlins de bisous et surtout d’elle, je la rattrape d’une geste rassurant, elle m’embrasse le menton après avoir levé la tête pour croiser mon regard, elle est un peu plus petite que moi, je me pousser des ailes avec elle, je sens ses mains s’accrochant à mon haut, je resserre un peu mon étreinte, alors qu’une de mes mains caresse doucement et tendrement son si beau visage, je l’écoute me répondre « C’est toi qui est merveilleux, hm. Je n’ai pas pleuré, j’ai failli. Mais c’est à cause de toi, vilain… Tu m’as fait peur… Je ne savais pas où vous étiez et mon portable… je l’ai pas senti… Je suis bête. » Ses mots résonnent comme une douce mélodie dans mes oreilles, je ne lui réponds pas de suite, dès la fin de ses mots je l’embrasse, j’aime sentir ses mains proches de mes cheveux, notre baiser est passionné, je l’aime et je veux lui montrer, pour mélodie à notre amour, nous avons les rires de Sho, je l’entend, mais ne me préoccupe pas de lui à ce moment là, il est en sécurité seule ma chérie compte, je profite de ses lèvres si douces. Elle met fin à notre baiser en s’écartant légèrement de moi, reprenant un peu d’air même si je préfère ses lèvres, je lui souris, la garde dans mes bras, nos lèvres ne sont pas tant éloignées que cela notre respiration est l’unisson, j’en profite pour tendrement lui répondre

    « Nous sommes un couple merveilleux alors ! Tes si jolis yeux étaient un peu rougis, c’est pour cela que j’ai cru que tu avais pleuré. Désolé de t’avoir fais peur j’aurais du t’attendre pour aller en course … Et tu n’es pas bête mon amour, cela arrive de pas sentir son portable. »

    Alors que mes doigts s’entrecroisent sur ses reins, les siens viennent caresser mes joues, je souris tendrement, je viens malgré moi de lui faire peur, je m’en veux un peu, alors sa si joli voix se fait réentendre, je bois de nouveaux ses mots, je suis un alcoolique, j’aime cela, j’aime l’entendre me parler, me murmurer des choses comme elle le fait en ce moment « Tu sais, la surprise… En fait il y en a deux. D’abord une pour Sho-chan ! » Comme toujours, elle pense au petit, j’ai une perle avec moi, à son âge les jeunes femmes pensent à dépenser leur argent en bijoux, sac à main ou autre sortie, elle non, elle offre des cadeaux à Sho, le gâte comme jamais, pense aux autres avant de penser à elle-même. Elle me surprendra toujours, je souris en la voyant si heureuse de me l’annoncer.

    « Deux ? N… le petit t’adore déjà mais alors là, il va te vénérer. Merci pour lui. »

    J’ai failli dire notre fils, mais une fois de plus, je suis touché par son geste. Elle rit elle aussi en se détachant de moi, joueuse, coquine, elle trottine vers son sac d’où, elle extrait une magnifique peluche de panda, je sifflote émerveillé par l’ours noir et blanc, vraiment magnifique, un clin d’œil complice, et la voilà dans le parc, en retrait j’observe la scène, le petit est attentif comme jamais face à ma compagne, il doit ce douter qu’elle est pour lui, la scène me touche au plus au point, les larmes me viennent à l’œil surtout quand j’entend Maria appeler Sho mon chéri, non seulement elle lui raconte l’histoire du petit panda mais elle le nomme mon chéri, que cette vision est belle, que Maria est belle dans ce rôle de maman … j’essuie discrètement une petite et vilaine larme qui veut s’échapper, mais elle était une larme de joie. Je regarde la réaction du petit et là c’est lui qui me touche à son tour, comme s’il avait comprit l’histoire du panda, il le prend délicatement dans ses petits bras et lui fait un énorme câlin. En plus de cela, je vois une autre scène qui me touche, ma belle blonde, se penche sur lui et l’enlace en l’embrassant tendrement, cette fois je ne peux plus, je laisse couler quelques larmes, que je sèche vite avant qu’elle ne m’atteigne, je ne veux pas qu’elle voit que je pleure, j’avais peur de lui faire de la peine, elle attrape ma main et me tire doucement vers le canapé, je l’y suis avec plaisir car je sais que cela va être un moment pour nous, c’est là en général que nous nous câlinions, Sho allait être sage et faire connaissance de son nouvel ami. Maria prends place dans mes bras, comme elle aimait le faire, je caresse ses cheveux dorés et avant que j’ai le temps de la remercier elle m‘annonce une bonne nouvelle « Et la deuxième surprise c’est que… Je suis libre jusqu’à lundi matin. La secrétaire a accepté ma demande d’autorisation de sortie. Alors si… si tu veux bien m’héberger, je suis à toi tout le weekend… » je ne cesse mes caresses, je souris, sa dernière remarque m’amuse, je suis dingue d’elle et je n’accepterais pas de l’héberger ? Elle a beaucoup d’imagination, trop là-dessus. Je la serre un peu plus fort contre moi et lui dit en murmurant

    « D’abord laisse moi te remercier comme il se doit pour la surprise pour ton fils »

    Je venais de dire son fils oui, elle était après tout la seconde mère de Sho, je l’avais décidé, mes lèvres virent ce poser sur les siennes, ma bouche s’entrouvrit légèrement pour un baiser identique à celui de toute à l’heure sauf que nous étions dans le canapé. Nous flirtions un moment avant que j’y mette fin de moi-même mais je ne décollait pas mes lèvres des siennes de beaucoup, juste assez pour articuler :

    « C’est génial cela ! La secrétaire est une gentille femme ! Il est évident que j’accepte ma douce ! Si cela ne tiendrait qu’a moi tu resterais vivre ici déjà ! A moi tout le weekend ? Je suis vraiment un homme chanceux ! Je suis à toi pour la vie même si tu veux. »

    Je la vois rougir, sa demande à lui l’intimider, la peur que je dise non à du jouer aussi, sa tête se relève un peu sans croiser mon regard, nos doigts s’entrecroisent, s’enlacent, sa voix me chante doucement « Je me disais que… Non. J’ai décidé que ce weekend serait exceptionnel. J’aimerais qu’on ne soit que tous les deux, coupés du monde. Juste un weekend. Je crois que… qu’on a tous les deux besoin de ça. On ne sort pas, pas de téléphone sauf urgences… Tu es d’accord ? » Je la regarde, je ne bouge pas, émerveillé car elle à pris cette décision pour nous, elle parle de deux mais nous sommes trois avec Sho, j’ai pas de nounou à disposition et celle qui est considérée comme telle risque d’être un peu occupée ce weekend, un brin taquin, je lui glisse à l’oreille :

    « Il est déjà exceptionnel Maria-chan car nous allons le passer à deux. Mais Sho ? Attend mes parents me l’ont réclamé une fois, je pense qu’ils ne diront pas non un weekend surtout s’ils savent que c’est pour un moment à deux. Mais as-tu une idée en tête que tu ne veuilles pas que l’ont sortent. Promis je ne les appellent pas toute les trente secondes si tu m’embrasses. J’accepte avec plaisir. »

    Avant d’appeler mes parents je l’embrasse une nouvelle fois. J’attrape mon téléphone qui se trouve sur la table à mes cotés et je commence à composer le numéro de mes géniteurs, ma mère décroche rapidement, je lui demande si elle et papa veulent bien tenir Sho pour ce weekend car je veux le passer avec Maria, mes parents savent qu’elle existent mais ne l’ont encore jamais vu, j’entend mon père rire un peu plus loin, je comprends que c’est un oui et qu’ils arrivent d’ici vingt minutes, je souris à ma douce et lui annonce la bonne nouvelle :

    « Tu vas voir tes beaux parents d’ici vingt minutes chérie, tu m’aides à préparer le petit ? »

    Le tout sur un ton des plus enjoué, mes parents ne critiqueront pas notre couple, ils demanderont juste à Maria de me rendre heureux car pour eux c’est tout ce qui compte finalement. C’est des parents çà.
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Kondo Maria« Kondo Maria »
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Je fonds comme un iceberg au soleil, ou plutôt comme un petit glaçon, là dans ses bras. Réfléchissez un peu. Je peux depuis deux mois dire que l’homme le plus gentil, attentionné, galant, doux, aimant et beau – je suis à court d’adjectifs, il est indescriptible – de l’univers est à moi et rien qu’à moi. Quand je suis sortie pour la seconde fois du parc de Sho, il m’a semblé voir Ren passer une main sur ses joues avec empressement, mais je ne relève pas. Pour la discrétion, il repassera, mais il ne voulait sans doute pas que je le voie. J’ai encore du mal à me faire à autant d’amour venant d’une même personne, alors que j’ai toujours vécu avec des parents très modérés dans leur affection et plus d’amis virtuels que réels. Même si cela fait deux mois qu’il me traite comme une reine, je me sens toujours gênée, agréablement gênée en fait. A ce moment-là, ce ne sont plus seulement mes yeux qui sont rougis mais tout mon visage et mon cou. Un jour j’essaierai de lui donner des surnoms comme il le fait, pour essayer, voir ce que ça donne, si j’ai l’impression que ça lui plait autant qu’à moi. En même temps, j’ai honte de le faire culpabiliser alors que je n’ai pas vraiment pleuré. Ses mains au creux de mes reins sont un vrai délice et, curieuse sensation, je les ressens beaucoup plus intensément aujourd’hui. Garde-moi comme ça, contre toi, et restons ainsi jusqu’à l’aube.

J’en aurais presque oublié Sho – et je ne sais même pas comment je peux oser dire ça – si son rire enfantin n’emplissait pas la pièce. La surprise semble lui faire plaisir. Les mots de Ren me font glousser mais je dois faire de mon mieux pour ne pas éclater de rire quand je lui raconte l’histoire du panda. J’aimerais que plus tard, quand il sera plus grand, il aide les autres, quels qu’ils soient, et les aime. On ne va nulle part quand on hait quelqu’un. Je l’ai appris à mes dépends et pourtant c’est quelque chose que je ne peux m’empêcher de faire. C’est pourquoi j’aimerais qu’il grandisse en aimant les gens autour de lui. Un peu d’amour ne fait pas de mal et on le lui rendra toujours même s’il ne demande rien. Je n’ai que dix-huit ans, mais quand je vois les adolescents pré-pubères se moquer de leurs aînés ou martyriser les plus jeunes, ça me donne envie de pleurer, ou d’aller leur casser le nez au choix. Non, la violence ne mène à rien, sauf au danger. Seulement, comme il est chez sa mère – biologique, j’ai envie de dire – le reste de la semaine, je ne peux pas surveiller ce qu’il fait ni comment il est traité. Une seconde… Note numéro un : ce n’est pas ton fils, Mari’ ! Note numéro deux : s’il était malheureux avec sa mère, Ren aurait été le premier à s’en apercevoir. Note numéro trois : et quand bien même il était mal traité et que Ren n’en savait rien, qu’est-ce que tu comptes faire ? Lui intenter un procès et espérer qu’elle ne fasse pas la remarque de votre différence d’âge ? N’importe quoi.

Quand je l’enlace, Sho tente de faire de même sans lâcher son nouvel ami. Mon cœur cogne dans mes tempes comme une batterie au rythme d’une mélodie imaginaire. Plus tard, quand nous serons tous les deux prêts, bien installés et que Sho sera en âge de comprendre, je lui demanderais. Le rêve de toutes les filles est de devenir mère, je suppose. Je ne voudrais manquer ça pour rien au monde. Je veux subir les nausées, le mal au dos, la fatigue, les tiraillements de la peau et les envies pressantes toutes les cinq minutes, si au bout du compte, c’est pour avoir un enfant. Puis, une fois sur le canapé, de retour dans les bras de Ren, plus rien n’importe que ça. Je sens tout. Ses caresses dans mes cheveux qui m’apaisent et m’incitent à parler, son sourire contre mon crâne, son étreinte qui se resserre quand je lui demande de m’héberger pour le weekend, son souffle sur mon nez quand il murmure. Me remercier pour quoi ? Ce petit panda me tendait les bras et il s’imagine que j’allais me priver de l’acheter pour mon fils ? … Mon fils ? Comment ça, mon fils ? Je me suis tellement répétée que Sho était de moi que ça y est, j’entends Ren l’exprimer à haute voix… Mais non, quand même, je ne suis pas folle au point d’avoir des hallucinations auditives quand même ! Avec de grands yeux écarquillés comme des soucoupes, je relève la tête pour le dévisager bêtement cette fois. Mais avant même que j’ai pu lui demander de répéter, il a déjà scellé nos lèvres et mon cœur menace de s’arrêter si bien que mes mains retrouvent d’elles-mêmes le chemin vers le col de son haut pour s’y agripper comme à une bouée de sauvetage.

Il s’écarte, je manque d’air mais ça m’est égal. Mourir asphyxiée dans ses bras n’est pas une option que j’envisage, sauf s’il compte employer le bouche-à-bouche pour me réanimer. Evident, dit-il. Pour moi ça ne l’est pas tant que ça. Il aurait pu avoir des choses plus importantes à faire et refuser, il aurait pu se dire fatiguer et me proposer de repasser le lendemain. Il aurait pu dire pleins de choses mais il ne l’a pas fait, préférant supporter une gamine à peine mature tout un weekend. Sans y faire attention, je me suis redressée sur les coudes pour l’observer bien en face, si bien que quand il se penche, il est plus près que jamais. Il a beau parler, je n’arrive pas à m’empêcher de lui déposer pleins de baisers partout sur le visage. Je l’écoute quand même. Les femmes savent faire plusieurs choses à la fois, pas de méprise. C’est à ce moment-là, quand il commence à parler de ses parents que je prends conscience que ce « moment à deux » ils savent bien qu’il ne le passe pas avec Ayame. Alors ça voudrait dire qu’il leur a parlé de moi… Depuis combien de temps savent-ils ? Et s’ils avaient découvert notre écart d’âge ? S’ils n’ont rien dit depuis le temps, ça veut peut-être dire qu’ils ne sont pas contre, voire même qu’ils approuvent.
    « J’ai tout prévu, ne t’inquiète de rien. Sauf de convaincre tes parents de s’occuper de Sho-chan pour le weekend. Et quand ils seront passés le chercher, tu auras tous les baisers que tu voudras, je te le promets. »
A peine ai-je terminé ma phrase qu’il se lève en m’embrassant une dernière fois. Bien Maria, c’est comme ça qu’on se fait respecter dans un couple. Je me demande s’il m’a écoutée de toute façon. Je ris derrière ma main et, tandis que Ren compose le numéro de ses parents, je me retourne vers Sho qui joue sagement avec son nouvel ami qu’il manipule avec beaucoup d’attention. Et à côté de lui, Spider repose tranquillement, les yeux entrouverts, ses longues pattes noires presque entièrement dépliées. Elle suit attentivement ses moindres faits et gestes sans même qu’il la remarque. Parfois, j’en oublierais presque que les autres ne peuvent pas la voir. Comme consciente d’être observée, elle tressaille et lève les yeux vers moi. Je sens mon sourire s’élargir alors que je lui adresse un petit clin d’œil. C’est presque devenu une habitude. A chaque fois que je vais chez Ren, elle m’y rejoint pour surveiller Sho. Je suis sûre que c’est grâce à elle qu’il ne lui arrive rien de grave quand on le laisse seul. La voix de Ren retentit soudain beaucoup plus près de moi. Avec un léger sursaut de surprise, je me retourne. Tout sourire, il m’annonce que ses parents viendront chercher le petit dans une vingtaine de minutes. Ou plutôt, il parle de mes beaux-parents.
    « Oui, bien sûr ! Je vais lui préparer un petit sac si tu… Quoi ? Comment ça, mes beaux-parents ? Tu leur as dit qu’on était mariés ?! »
Loin d’exprimer le reproche, ma voix est soudain montée dans les aigus mais je m’efforce de la calmer. D’une main, je tâtonne le canapé jusqu’à trouver ce que je cherche. Le coussin qui atterrit trois secondes plus tard dans le visage de Ren tandis que Sho qui a sûrement dû nous voir part dans un grand fou rire. Oh, ça lui plait qu’on martyrise son papa ? Je pourrais peut-être recommencer si seulement je ne riais pas autant que lui, pliée en deux sur le canapé. Juste au cas où il aurait l’intention de me renvoyer le coussin, je me jette sur Ren avec le peu de force que j’ai et réussit à le plaquer au matelas. A califourchon sur lui, les bras de chaque côté de son visage, je le dévisage longuement avant de me pencher pour laisser errer mes lèvres sur son visage. Avant qu’il ait pu y toucher, je suis déjà debout. Chaque chose en son temps. D’abord le petit, et ensuite occupons-nous d’un détail gênant : le t-shirt au-dessus du nombril, très peu approprié pour recevoir même brièvement les parents de mon Ren. Gloussant encore un peu, je prends Sho dans mes bras qui rit toujours aux éclats sans jamais lâcher sa peluche. Lorsqu’elle le voit s’éloigner, Spider se redresse d’un bond à mes pieds. Je lève les yeux vers Ren et lui tire la langue :
    « Si tu lances ce coussin, je dis à tes parents que tu me bats. Et je te préviens, je peux être très convaincante quand je veux~ Alors maintenant à toi de voir si tu veux un weekend tranquille ou en garde-à-vue. »
Je ne lui laisse même pas le temps de répondre et trottine jusque dans sa chambre, avec le petit dans les bras, suivie de près par Spider. Une fois à l’intérieur, je pose le petit sur le lit. La grande araignée vient s’y poser juste à côté de lui, sur le coussin de Ren. Tout en les surveillant du coin de l’œil, je sors un petit sac de l’armoire. Habituée. C’est tous les weekends pareil. Quand il doit rejoindre sa maman le dimanche soir, j’aide Ren à faire son sac. Mais aujourd’hui c’est différent, nous savons qu’il sera là dimanche soir. Cela dit, même si je suis ravie et que je ne le montre pas, ça m’inquiète un peu de laisser Sho seul. Ses grands-parents sont sans nulle doute fantastique mais ce n’est pas la même chose. Un peu automatiquement, je marmonne :
    « Nee, Spider, ce weekend, tu n’as qu’à aller avec Sho pour le surveiller. Tu prendras soin de lui, mh ? »
Et comme pour me montrer qu’elle a compris, l’araignée bouge une patte, veillant sur l’enfant comme elle le faisait avec moi quand j’étais petite.
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    Avec elle, je me sens bien, je me sens fort, je me sens homme, je craque complètement pour cette femme, elle est si douce, si tendre, si adorable avec Sho, oui ces quelques qualificatifs sont désigner la femme de ma vie, Maria de son prénom, je suis de nouveau heureux depuis deux mois, soit depuis qu’elle m’a dit oui pour qu’on sorte ensemble et comptez pas sur moi pour la lâcher bien au contraire car elle est à moi et je suis assez possessif.

    Je pense avoir été discret quand j’essuie une larme coule sur ma joue, ma chérie reste discrète avec moi sur ce sujet, elle fait comme si elle n’avait rien vu, alors qu’elle sort du parc de Sho, j’ai besoin de lui dire que je l’aime, de l’avoir dans mes bras et de l’embrasser. C’est peut être fou mais depuis qu’elle est devenue ma petite amie, je revis, je suis comme un gosse, d’accord j’ai vingt huit ans mais avec elle je me sens plus jeune. Je viens de verser des larmes car la femme que j’aime adore mon fils et cela me touche beaucoup, elle s’en occupe comme si c’était le sien, j’aimerais tant qu’il soit d’elle, qu’on soit réellement une famille, j’ai pour ambition d’un jour lui demander sa main, de donner un frère ou une sœur à Sho d’avoir un autre enfant avec elle oui je le veux, je le souhaite tellement … Je l’ai dans mes bras et je me sens si bien, je n’ai plus peur qu’elle ne soit pas là, ses bras autour de mon cou ont apaisé cette crainte. Je donnerais tout pour nous restions enlacé amoureusement comme nous le sommes. Mais un petit bonhomme en a décidé autrement, de part ses rires il nous rappelle qu’il est là sacré garnement va, comment peut on l’oublier. La voir ainsi avec Sho alors qu’elle lui racontait l’histoire du petit panda en peluche m’a fait rêver, un rêve tout éveillé ou je nous voyais marié et Maria enceinte avec Sho devant nous sur la photo, heureux parents d’un futur nouveau né et d’un petit bonhomme pas plus haut que trois pommes. Je vois en Maria une mère attentive à l’éducation de ces enfants, leur inculquant le respect des autres le partage et l’honnêteté, trois valeurs importante à mes yeux mais qui se perdent malheureusement maintenant. Quand je vois les jeunes et leur éducation de maintenant je plains leurs pauvres enseignants, on dit toujours que l’école forme les jeunes, il y a du vrai mais si cela ne suis pas derrière avec la vie de famille, c’est la cata assurée … je regarde une nouvelle scène attendrissante Maria qui fait in câlin à Sho et le petit qui essaye de faire de même avec ses petits bras sans lâcher son nouvel ami, j’ai vraiment une perle rare et mon fils est tout simplement adorable, je sens au plus profonds de moi qu’il va être un sacré séducteur. Déjà à deux ans il a la cote alors j’imagine pas dans plus. Je veux passer ma vie avec la douce Maria, je suis fou d’elle.

    Quand enfin nous nous installons sur le canapé, elle est blottie dans mes bras, je lui caresse les cheveux doucement et tendrement, moment de tendresse de nouveau, nous parlons de Sho avant que je ne l’embrasse fougueusement, je me souviens de son regard quand j’ai nommé le petit comme son fils également, mais vu comment elle s’en occupe, il n’est que logique de lui donner le nom de seconde maman pour lui. Je sens ses mains autour de mon col, mes bras se resserrent un peu pour que je la sente contre moi un peu plus, au bout d’un moment je met fin à notre baiser à contre cœur je l’avoue mais il me faut une solution pour Sho. Passer un weekend avec elle est merveilleux mais le petit est là et qui dit weekend à deux dit autre chose. Quand elle m’a annoncé sa surprise, je suis le plus heureux des hommes, elle arrive à me faire rire en croyant que je en voudrais pas l’héberger, elle avait tout organisé pour qu’on ait enfin ce moment romantique tout les deux, nous en rêvions, elle l’a fait, pas de téléphone, pas de sortie, juste elle et moi dans l’appartement. Elle se redresse sur ses coudes alors que je me penche pour lui murmurer quelque chose, une fois de plus elle me facilite la tâche, elle m’embrasse le visage autant qu’elle peut, je lui annonce en même temps que mes parents m’avaient réclamé leur petit fils et que du coup ils seraient d’accord pour le prendre tout le weekend, je lui avoue aussi à demi mots que mes parents sont au courant pour nous. Oui je leur ai dit que depuis deux mois une femme était rentrée dans ma vie et qu’elle acceptait Sho, qu’elle l’adorait, ma mère m’avait posé autant de questions que possible, allant de son prénom au lieu de notre rencontre et à son âge, cela avait un peu surpris les miens à ce niveau là, mais j’avais été tellement convaincant que jamais j’avais une réflexion négative des miens. Je promets à Maria de pas appeler toutes les trente secondes pour savoir si cela se passe bien et j’en profite pour essayer d’en savoir un peu plus sur le programme du weekend, oui je suis un peu curieux, « J’ai tout prévu, ne t’inquiète de rien. Sauf de convaincre tes parents de s’occuper de Sho-chan pour le weekend. Et quand ils seront passés le chercher, tu auras tous les baisers que tu voudras, je te le promets. » m’avoue t’elle mais je la regarde avec un sourire des plus charmeur et avant que je lève, je lui prouve que je l’ai écouté

    « D’accord, je ne m’inquiète pas, après tout pourquoi le faire car nous allons passer le plus merveilleux des weekend tout les deux. Pour mes parents disons que cela fait une surprise aussi chérie. Mmmh, j’ai hâte alors. »

    Après l’avoir embrassé, je me lève alors pour empoigner mon téléphone et compose le numéro, en attendant que l’on décroche je regarde successivement Maria et Sho, elle le surveille tendrement, lui joue tranquillement avec son panda, il est des plus doux avec lui, je parle avec ma maman un petit peu et aussi avec mon père, nous nous mettons d’accord et je sens la joie dans leur voix. Le coup de téléphone fut rapide et je peux alors annoncer la bonne nouvelle à la femme de ma vie, je le fais sursauter car elle ne s’y attendait pas, je suis tout heureux de lui dire qu’elle va rencontrer ces beaux parents car ils viennent chercher leur descendance. Sa réaction est de suite positive « Oui, bien sûr ! Je vais lui préparer un petit sac si tu… Quoi ? Comment ça, mes beaux-parents ? Tu leur as dit qu’on était mariés ?! » Quoique pour la fin sa voix est un peu montée dans les aigus, surprise mais elle me donne une bonne occasion de rigoler, je ris déjà en pensant à la petite blague que je vais lui faire et je ne peux me retenir plus longtemps

    « Merci mon amour ! Oui tes beaux parents ! Bah quoi je pouvais pas leurs dire que je t’ai marié et qu’on a six enfants ?

    J’en peux plus, j’éclate de rire, d’accord ce n’était pas drôle pour elle, mais comme mes parents le savent pour nous, je trouve logique de les nommer ses beaux parents quand je lui parle d’eux. Je devais lui avouer la vérité

    « Ne t’inquiète pas, je ne leur ai pas dit qu’on était marié même si un jour cela arrivera surement si tu veux de moi. Mes parents sont bien au courant par contre pour nous deux, ma mère m’a posé un tas de questions et ils savent ton âge, alors ne t’inquiète pas pour cela ma belle. On a pas à ce cacher avec eux, tout ce qu’ils m’ont demandé c’est qu’on soit heureux tout les deux. »

    J’ai pas le temps de finir ma phrase qu’un coussin lui sert de projectile, le petit part dans un grand fou rire, cela l’amuse, petit traitre mais cela m’amuses aussi, je réfléchis à lui renvoyer ou non le coussin, je suis quand même un homme qui peut porter des plateaux remplit d’une main, je soulève des caisses remplies d’alcool et puis en face de moi j’ai une femme qui m’aime et que j’aime, mais elle en profite pour ce jeter sur moi, je me retrouve sur le dos Maria sur moi à califourchon, quelle délicieuse position que voilà, ses lèvres se baladent sur mon visage, je ne peux trop rien faire, avant que je ne l’embrasse, elle se relève, et va prendre notre bébé dans ses bras, il rit encore et ne lâche pas sa peluche, il y tient vraiment, discrètement, je prends le coussin pour menacer Maria en riant, elle me tire la langue et me menace elle aussi « Si tu lances ce coussin, je dis à tes parents que tu me bats. Et je te préviens, je peux être très convaincante quand je veux~ Alors maintenant à toi de voir si tu veux un weekend tranquille ou en garde-à-vue. » je fais une mine boudeuse, et j’éclate de rire de nouveau, je dépose le coussin mais avant que je ne lui réponde, je la vois partir emportant Sho dans ses bras, je la laisse faire tandis que je prépare les biberons, peluche couches et autres tandis que Maria lui prépare son sac comme à chaque fois qu’elle est là et qu’il repart chez Ayame, le temps passe à une vitesse folle, pas le temps d’oublier quelque chose que mes parents sont en bas de chez moi, la sonnette vient de retentir, je les invite à monter, quelques secondes après, je les entends arriver, leur ouvre la porte et les accueille chaleureusement, Maria est revenue depuis quelques secondes, elle tient le petit avec une telle délicatesse et un tel amour, que mes parents lui sourient tendrement, je fais les présentations :

    « Maria mon amour, voici mes parents »

    Sa réaction est celle que je m’attendais, mais je sens de la timidité de la part de celle qui partage ma vie, mes parents la rassure, et lui dise qu’elle est bien jolie, que j’ai fait un très bon choix et que nous avons intérêt à être heureux, j’en ris car c’est la même remarque j’avais pris au moment ou je leur avais annoncé mon nouveau couple. Je me retourne vers la beauté qui est ma compagne et tendrement je lui dis

    « Tu vois, je te l’avais dit, tout ce passe bien. »

    Mon père glisse à ma mère qu’il est temps qu’ils y aillent, je lui confie les sacs dont un complet de langes et explique à ma mère une chose sur les panades de Sho, elle me renvoie vite sur mes cents mètres en me disant qu’elle sait s’occuper d’un enfant, nous en rions et je laisse Maria lui confier le petit avant que nous ayons pour nous seul l’appartement, c’est à ce moment là que nous allions être en tête.
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Kondo Maria« Kondo Maria »
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MessageSujet: Re: A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot )   A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot ) Icon_minitimeVen 22 Juil - 23:26

Il n’a aucune honte ce bougre. Il n’a pas honte de me faire croire qu’il a raconté à ses parents que nous nous étions mariés et… six enfants ? Il croit faire marcher qui avec ça ? J’avoue, j’ai failli courir pas marcher, mais ça c’était avant que mon cerveau ne redémarre. Six enfants en deux mois, il a fumé la moquette, mon amour. En fait, si l’on y réfléchit bien, ça voudrait dire que j’ai été enceinte de sextuplés et qu’il a trompé sa femme il y a sept mois. J’aurais été la responsable de leur divorce et honnêtement, puisqu’il ne peut pas lire dans mes pensées, ça ne m’aurait pas tant dérangée que ça. Ren ne le sait pas, ou plutôt il ne veut pas le voir, mais son ex-femme est une peste doublée d’une harpie. Pour ne pas être plus vulgaire. Elle me prend pour la nounou de Sho. Je ne sais pas pourquoi tout le monde pense ça. Notre couple est-il si improbable ? Pourtant, quand je l’ai vu la première fois au bar où il travaille, ça ne m’a pas paru si impossible. Au contraire. Je me disais que dans quelques années, si l’on ne se perdait pas de vue, notre histoire aurait été possible même. Finalement, elle l’a été bien plus tôt que je ne le pensais. Deux mois et deux baisers plus tard, je me suis rendue compte qu’en fin de compte, c’était mieux de ne pas attendre. Là encore, cela ne fait que deux mois et bien que je devrais être habituée, j’ai parfois l’impression de mourir de tant d’amour. Il me couve tant que je crois que mes parents se doutent de quelque chose. Mon père m’a gentiment signalé que j’ai de petites étoiles dans les yeux quand il me demande comment je vais et m’a mère a fait remarqué que j’avais un peu pris du poids. A croire qu’elle ne se souvient ni du fait que ce sujet est tabou en ce qui me concerne, ni de la raison pour laquelle j’ai prétexté vouloir commencer à prendre la pilule : faire passer l’acné. Elle a marché.

De toute façon, ils ne peuvent que savoir que j’ai un petit ami. S’ils n’apprennent que ce détail, tout va bien. Si par malheur son âge filtre, je les connais, ils seraient capables de m’envoyer à l’autre bout du continent pour nous empêcher de nous voir. Mon père est capable de tout et je ne veux pas qu’il fasse de mal à Ren ou à son petit bout. Je ne l’ai jamais dit à Ren. Je ne veux pas prendre le risque qu’il prenne peur. Rien ne pourrait empêcher mes parents de m’arracher à lui. Même pas si je fuguais. Ils me retrouveraient quoiqu’il en soit et Ren serait dans de beaux draps. C’est pour toutes ces raisons que les moments tranquillement passés avec lui, sans qu’un quelconque danger nous menace, sont de vrais moments de bonheur. Encore plus maintenant que je sais que les parents de Renji approuvent notre relation malgré la différence d’âge. C’est rare d’avoir des parents aussi compréhensifs et ouverts d’esprit. Il a bien dit « je ne leur ai pas dit qu’on était marié même si un jour cela arrivera sûrement si tu veux de moi ». Si tu veux de moi. J’ai des papillons dans le ventre à entendre cette simple phrase qui pourtant est remplie d’espoir. S’il me demandait de l’épouser là, maintenant, tout de suite, je dirais oui sans hésiter. Tant pis pour l’âge, tant pis pour la loi, nous nous marierons en secret dans une petite église grâce à un prêtre qui serait son ami. Il se peut que j’ai peut-être trop lu Roméo et Juliette. Mais contrairement à nous, leur histoire est bouleversante. Certains diront qu’ils ont été réunis dans la mort. Et moi qui ne croit pas en une vie après la mort, comment je fais ? Le futur me fait peur en quelque sorte. Je ne veux pas le quitter mais en même temps, je ne peux pas l’avouer à mes parents. Deux ans à attendre, ça semble une éternité, mais l’éternité avec lui promet d’être passionnée.

J’ai quitté le salon aux sons de ses éclats de rire. Dans la chambre, ses affaires sont soigneusement préparées pour le weekend tandis que je parle à voix basse à Spider. Je plie dans un sac un body, un t-shirt, une salopette, deux gilets, quelques paires de chaussettes et une paire de chaussures en plus de celles qu’il va mettre pour partir. C’est peut-être un peu exagéré puisqu’il ne part que deux jours mais je veux que ses grands-parents ne manquent de rien. Impossible de savoir combien de temps il se passe entre le moment où nous sommes entrés dans la chambre et celui où la sonnette de la porte a retenti. Je sais simplement que j’ai bondi presque aussi fort que Spider. Je n’ai toujours pas changé de haut et j’aurais trop honte de me montrer comme ça. Dix ans de moins, encore une adolescente, je veux bien, mais ça n’est pas une raison pour apparaître débraillée. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’ai refermé le sac et sorti une chemise appartenant à Ren. Je la passe par-dessus mon haut blanc et, bien qu’elle soit un peu grande, me débrouille pour la rentrer dans le jean et retroussé les manches. Au moins je ressemble à quelque chose. Enfin, je prends Sho dans mes bras, le sac dans une main et sort. Spider doit déjà être dans l’entrée à attendre. Les parents de Ren sont un couple d’âge moyen, très chaleureux. J’aime les yeux de sa mère, tendres et attentifs, exactement comme son fils. Malgré Sho dans mes bras, j’incline la tête pour les saluer tandis que Ren nous présente.
    « Maria mon amour, voici mes parents. »
    « Hajimemashite. »
Un seul mot et me voilà déjà rouge pivoine. Je m’enfouis presque derrière Sho, ce qui est un exploit aux vues de sa petite taille. Evidemment, ces rougeurs ne passent pas inaperçues malgré mes prières pour que personne ne les remarque. Peine perdue c’est la mère de Ren qui tapote mon bras et, sur le coup, je n’arrive pas à dire si c’est par gentillesse ou par pitié.
    « Maria-chan, vous êtes une bien jolie demoiselle. Renji a fait un excellent choix. Vous avez vraiment intérêt à être heureux, tous les deux ! »
    « Ah hai ! C’est promis. »
    « Tu vois, je te l’avais dit, tout se passe bien. »
Au moment où il a prononcé ces mots, je me suis tournée vers Ren avec un petit sourire timide. Timide mais heureux qu’il soit là, qu’il soit lui tout court. Voyant sans aucun doute notre regard échangé, c’est son père qui prend la parole et annonce qu’ils vont y aller. Tandis qu’il prend les sacs entre ses mains, je confie Sho à sa grand-mère. Il retient une de mes mèches, ce petit Einstein, et ne la relâche qu’après un énième baiser. La porte se referme – enfin – nous laissant seuls dans l’appartement. A pas rapides, je vais chercher mon téléphone dans mon sac et l’éteint. Maria sera indisponible pour le weekend. Sans lui laisser le temps de respirer, je me jette dans ses bras, contre sa poitrine chaude et accueillante, et l’embrasse à pleine bouche ; Le baiser se fait ardent, c’est comme si j’étais incapable de m’arrêter. Il fait tout à coup beaucoup plus chaud dans la pièce. Je prends feu. Cela dit, je ne me souviens pas d’avoir jamais senti ma hanche vibrer. Interrompant brusquement notre baiser, je vais lui chiper son portable dans sa poche droite et le tient devant mes yeux. Le nom est facilement reconnaissable. Un simple kanji. Ayame. Elle a le don pour casser l’ambiance. Adieu la magie. Je me détache de Ren et dévisage un moment le téléphone, le laissant sonner avec indifférence. Qu’elle attende. Finalement, je raccroche et reste appuyée sur cette même touche jusqu’à ce que l’écran devienne noir. Portable éteint, il va rejoindre le mien posé sur la commode du salon.
    « A croire que ton ex a installé des caméras dans l’appartement mh… Pas fichue de nous laisser en paix.
La dernière phrase m’a échappée. J’en reviens immédiatement à ses lèvres dans l’espoir qu’il n’ait rien entendu et l’embrasse un peu brusquement, avec force et passion, tandis que nous reculons vers le canapé avant d’y tomber, moi à califourchon sur lui.
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« Bakaï Renji »
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    Je suis entrain de rire aux éclats car je viens de faire croire à Maria que j’ai dit à mes parents que nous étions marié avec six enfants, je suis assez fier de moi car la blague était un peu osée je l’avoue. Mais c’est tellement bon de rire. Nous n’étions ensemble que depuis deux mois c’est trop peu car avant mon incartade avec Indiana j’avais toujours été fidèle, la seule fois que j’avais trompé Ayame nous avions divorcé. D’accord j’avais été fautif et au début, je m’en voulais mais depuis deux mois et l’entrée de Maria dans ma vie, ce sentiment c’est envolé comme par magie, la nouvelle femme de ma vie est donc bien une super héroïne, elle a sauvé mon cœur. Une chose qui me dérange avec mon ex femme, c’est qu’elle prend toujours ma belle blonde pour la nounou de notre fils ! N’a-t-elle pas encore remarqué qu’à chaque fois qu’elle vient rechercher le petit ou que je lui raccompagne Maria est toujours avec moi ? Très serviable la nounou alors dans ce cas là. Je sais encore m’occuper de mon fils même si l‘aide de ma petite amie m‘est très précieuse, je sais que Sho l‘adore et elle lui rend bien. La scène de la peluche à encore été un bel exemple. Quand je regarde ma douce et tendre, je nous revois encore lors ce soir là ou nous nous sommes vu pour la première fois mais je retiens surtout ce premier baiser, notre premier baiser qui lançait notre couple et une belle histoire d’amour. Je suis heureux avec elle et si les gens nous jugent sur notre différence d’âge c’est qu’ils sont des idiots. J’espère secrètement que le jour ou elle me présentera à ses parents, viendra bientôt. Cela peut paraitre bizarre mais je veux les connaitre, les féliciter d’avoir eu une aussi belle fille avec autant de qualités que Maria possède. Ils doivent être de bonnes personnes intelligentes qui ne prêteront pas attention au faite que je sois de dix ans l’ainé de leur fille, en plus de cela ils pourraient être de bons grands parents tant pour Sho qu’ils pourraient aimer comme leur petit fils également que pour la future progéniture que nous auront avec Maria.

    Mes parents vont l’adorer, le faite qu’elle me rende heureux à déjà plus à ma mère, le faite qu’elle aime Sho joue en sa faveur. Mon père lui m’a demandé si elle cuisinait bien, mais cela je n’en sais rien. Enfin si elle doit sans doute bien cuisiner mais est-ce que cela plaira à mon gourmand de géniteur, cela resterait un mystère pour moi tant que nous n’aurions pas diné tous ensemble. Mais pas ce soir non j’ai envie d’avoir ma chérie pour moi seul, je suis égoïste oui mais je ne demande pas non plus la fin du monde. Je veux juste passer une soirée en tête à tête enfin avec elle. Je sais que notre relation est un risque pour tout les deux mais je préfère me cacher et pouvoir l’aimer au lieu de me montrer et de la perdre. Non cela je ne pourrais pas le supporter. Maria fait partie de ma vie maintenant et pour rien au monde, je ne me séparerais d’elle. Mes parents son avec nous, ils nous soutiennent, nous aident en tout cas ce soir en prenant le petit chez eux. Ils ont compris que l’ont aimerait un peu d’intimité.

    Je viens de lui parler de notre futur, de mariage une chose qui me faisait peur à son âge. Mais elle non en tout cas si cela lui fait peur, elle ne me le montre pas, elle reste là avec moi dans notre salon. Je a regarde le plus tendrement possible car oui un jour, j’aimerais qu’elle devienne ma femme, je sais que j’ai déjà divorcé mais je veux que Maria porte mon nom, qu’elle porte une alliance que l’on aie des photos de notre union dans notre habitation. Elle n’est pas encore majeure et attendre ces deux ans pour qu’elle le devienne serait long mais tellement agréable. Ce temps là nous permettrait de fermer certaines bouches ou de faire avaler leur langue de serpent aux personnes qui ne croyaient pas en notre couple. Je pourrais aussi prouver à ses parents que je suis amoureux d’elle, que je ne veux que son bonheur. Elle le mérite tellement.
    Je commence après avoir rejoins la cuisine à préparer les biberons, tétines, bavoir et surtout peluche, j’en profite pour laver aussi ses couverts à panades, cela va vite à faire et au moins il aura ses couverts à lui. Je laisse ma petite amie tranquille, je ne veux pas qu’elle croie que je suis entrain de la surveiller alors qu’elle s’occupe du bébé. Je ris encore de nos petites bêtises avec les coussins. Mais très rapidement enfin c’est que je crois, la sonnette retentit, je ferme rapidement la fermeture éclair du sac et cours jusqu’à la porte. Maria viens de revenir, je remarque qu’elle porte une de mes chemises, je ris intérieurement car je crois savoir pourquoi elle l’a fait. Enfin la rencontre se fait. Les salutations sont respectueuses et j’entends sortir de la bouche de ma compagne « Hajimemashite. » et là je remarque qu’elle devient rouge pivoine, elle se rétracte, sa timidité vient de l’emporter. La mère la rassure je souris largement en écoutant ma génitrice, mon père lui me fait un clin d’œil avant que je ne rassure la femme qui partage ma vie qui vient de promettre à ma mère que nous devons être heureux tout les deux car elle est bien jolie. Oh ça elle l’est, non seulement son physique est beau ma cache un cœur énorme et une personnalité parfaite pour moi. Nous nous échangeons un sourire avec un regard qui voulait tout dire suite à ce que je viens de prononcer. Mon père annonce qu’il est temps pour eux de rentrer, je lui confie les sacs en l’embrassant et en le remerciant au creux de l‘oreille mais il ne me répond rien. Je sais que ce silence veut tout dire. J’embrasse Sho après qu’il aie réclamé une salve de baiser à Maria et j’en profite aussi pour embrasser ma mère. Quelques secondes plus tard la porte est fermée et nous sommes seuls enfin. Enfin notre weekend romantique peut débuter. Je la vois partir vers son sac et couper son portable et avant que j’ai pu l’imiter la voilà enfin dans mes bras pour un bon et long baiser passionné, je l’enlace pour mieux la sentir contre moi. Malgré que j’ai pas mis de chauffage la pièce devient chaude, le thermostat grimpe en flèche. Je sens que j’ai envie d’elle. Le baiser est passionné et je lui prouve que je la veux car ma main gauche descend doucement sur ses reins. Je sens une vibration, merde c’est mon portable. Je commence à m’en vouloir j’aurais du le couper de suite. Maria arrête de m’embrasser et prend le maudit appareil dans ma poche je la laisse faire. Elle regarde le téléphone qui sonne avant de raccrocher et de l’éteindre. Je viens de gaffer malgré moi mais à voir la tête de Maria je sais qui appelait cette personne c’était Ayame … Ma jeune compagne va déposer mon portable sur la même commode que le sien, je souris en la voyant faire par contre je l’entends râler « A croire que ton ex a installé des caméras dans l’appartement mh… Pas fichue de nous laisser en paix. » je comprend sa déception et sa colère, je ne relève pas trop dans un premier temps et après je la rassure :

    « Elle va nous laisser tranquille maintenant. Désolé de ne pas avoir coupé ce foutu portable de suite. Je vais me faire pardonner ce weekend. »

    Ma phrase à peine finie, que nous reprenons notre baiser mais nous sommes entrain de reculer sur le canapé sur lequel nous tombons tout les deux. Elle est à califourchon sur moi, impossible de cacher l’afflux de sang qui irrigue une certaine partie de mon anatomie. Tant pis j’en profite je pose mes mains sur ses cuisses et je recommence à l’embrasser avec passion, mais cette fois rien ne nous arrêtera. Ma respiration ce fait un peu plus forte, le désir que je ressens se libère.

    « Je … t’… ai… me … Ma … riaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa … »

    Ma langue va chercher la sienne après cette déclaration que je viens de lui faire avec une voix saccadée je ne contrôle plus tellement ma respiration mes mains restent au même endroit, je sens qu’elle vont ce balader après mais avant tout je veux prolonger ce baiser encore et encore pour bien lui prouver que je n’allais être qu’elle tout ces jours comme elle l’avait prévu. Nous allions nous occuper de nous et uniquement de nous. Après tout nous pouvions nous le permettre car nous étions un couple. Non de dieux que j’aimais ce mot quand la femme que j’aime est dans mes bras ou contre moi comme Maria l’est maintenant.
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Ce téléphone provoque en moi, un peu injustement je l’avoue, une bouffée de haine contre son ex-femme. On croirait vraiment qu’elle a posé des caméras dans tout l’appartement. Peut-être que la jeune nounou de Sho ne semblait pas assez droite et sérieuse à son goût. Si elle ouvrait les yeux, aussi, ça ne lui ferait aucun mal. Même en tant que nounou, elle ne semble pas me trouver à son goût. Si j’avais vraiment été la nounou de Sho, ça ne m’aurait pas dérangé. Je travaillerais pour Ren, pas pour elle grand bien m’en fasse. Seulement ce n’est pas le cas. Le jour où elle le comprendra, ça ne sera agréable pour personne, ni pour elle, ni pour Ren, ni pour moi. Quoi que si, pour moi ça risque d’être à la fois drôle et jouissif. Je pourrais enfin lui dire tout ce que je me retiens de dire, sur la façon dont elle se comporte avec son ex-mari, et moi. Pour plus de sécurité, j’aurais aimé tout simplement jeté le téléphone par la fenêtre pour qu’il atterrisse sous les roues d’une voiture et soit réduit en bouillie. Au moins, elle ne pourrait plus appeler. Plus jamais et peut-être que Sho resterait avec Ren, et moi, avec nous. Alors oui j’espère bien qu’elle va nous laisser tranquille sinon c’est à moi qu’elle aura à faire. Et Ren ne pourra pas lui annoncer avec des pincettes que nous sommes en couple et que je ne suis pas qu’une vulgaire nounou. Se faire pardonner ce weekend, c’est une bonne idée. Excellente même. Idée qui me fait rire contre sa bouche. Je n’ai qu’une hâte, qu’il me montre comment il va se faire pardonner. C’est bien beau de le dire mais il faudrait aussi le faire.

C’est une impression agréable que de sentir ses mains partout sur moi. Dans la pièce, il fait presque aussi chaud qu’en Inde, un jour de mois d’août. Parfois, quand on partait une semaine, mes amis et moi, on descendait jusqu’à Kochi en train. Et sur les quais de gare, à chaque arrêt, on devait sortir prendre l’air pour ne pas étouffer dans les wagons où il ne faisait pas moins de quarante-cinq degrés. Ici, ce n’est pas la même chaleur désagréable, au contraire, une chaleur dans laquelle on aimerait s’enrouler. Une chaleur qui m’envoie des papillons dans le ventre. Un peu plus et j’en oublierai où j’habite. Un weekend de la sorte avec Ren en vaut le coup voire même plus. Sa déclaration entrecoupée de soupirs me fait à la fois rire et rougir. Mais heureusement, je crois qu’entre la chaleur et maintenant ça, je ne peux pas être plus rouge. Ce serait inquiétant sinon. Contrairement à lui, j’ai les mains baladeuses. Sur son torse, ses épaules, ses bras, sa nuque pour finir sur son visage. Je ne me souviens pas avoir déjà été autant joueuse. C’est bien le mot. J’ai envie de jouer avec lui, pas dans le sens où tout le monde l’entend, juste dans le mien. J’aimerais le faire languir, me faire désirer pour une fois. J’adore jouer avec ses cheveux. J’en arrête même de l’embrasser pour m’amuser avec. L’impression d’être une gamine qui découvre le monde, son monde plutôt. Petit à petit, Renji a pris de plus en plus de place dans ma vie jusqu’à devenir le centre de mon monde.

Seulement, ce serait trop facile et pas drôle qu’on puisse passer un weekend tranquille, à deux et, ça j’aurais bien aimé, au lit. Non. Il fallait bien qu’après s’être rendu compte que le portable de Renji était coupé, sa folle d’ex-femme appelle sur le fixe. Evidemment. Le téléphone sonne, une sonnerie stridente qui contraste avec le silence ambiant juste entrecoupé de nos murmures. J’en suis sûre, c’est elle et elle a des caméras de surveillance installées dans l’appartement. Les mains crispées sur les épaules de Ren, je m’écarte lentement. Le téléphone est posé sur la table basse derrière moi. Elle va regretter de nous déranger. Plantant un baiser un peu brusque sur les lèvres de mon chéri avant de quitter ses genoux, je décroche le téléphone comme si j’allais le jeter par la fenêtre. J’en ai bien envie d’ailleurs. Mais non.
    « Résidence Bakaï, j’écoute ? »
    « J’aimerais parler à Renji. Qui est à l’appareil ? »
    « Maria. »
    « Maria ? Ah la nounou de Sho ! Passez-moi Renji. »
    « Non. »
    « Pardon ? Ce n’est pas une question, jeune fille, passez-moi Renji. »
    « Il est… Nous sommes occupés. Rappelez lundi. »
Je n’ai pas le temps d’en dire plus car Renji est près de moi et appuie sur la touche du haut-parleur. Mon cœur se serre sans que je puisse rien y faire. Il m’avait promis qu’on ne serait que tous les deux. Ce n’est pas sa faute, mais quand même. Je suis incapable d’être mature. A nouveau, Ayame me demande – ou plutôt m’ordonne – de lui passer Renji. D’un geste sec, je tends le combiné à ce dernier et me lève. On dirait une gamine à qui l’on a confisqué son jouet. Sauf que c’est plus que ça. C’est mon amour qu’on me confisque, même pour un temps limité. Même si je manque de rencontrer la porte vitrée avec un peu trop de vitesse, je réussis à sortir sur la terrasse sans trop de dégâts. Sauf que je me suis remise à pleurer, comme une enfant. Au fur et à mesure que les larmes tombent, je les essuie avec les mains.
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MessageSujet: Re: A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot )   A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot ) Icon_minitimeMer 17 Aoû - 19:22

    Libre, enfin nous sommes libre de pouvoir nous embrasser et de nous laisser aller à ce dont nous avons envie, j’ai envie d’elle et je crois que c’est réciproque, notre baser est passionnel, fusionnel même mais une ombre vient noircir ce tableaux idyllique, mon portable ce met à vibrer, j’ai honte car ma promesse envers Maria vient de se rompre, à ma décharge j’allais le couper mais ma compagne le fait pour moi après m’avoir annoncé qui appelait, Ayame pour ne pas la citer doit me dire quelque chose mais je m’en moque ma messagerie est ouverte, elle n’a pas Sho car mes parents en ont la garde pour le weekend. Il ont accepté afin que nous puissions passer une moment en tête à tête. Je lui fais la promesse de me faire pardonner. Comment ? Elle ne le saura que le moment venu, mais elle appréciera, j’en suis sur. Je m’enlève ces pensées un peu triste pour me concentrer sur Maria et notre baiser ainsi que le faite de ne pas tomber car nous marchons à reculons notre regard plongé dans celui de l’autre. La température de la pièce devient indécente, j’ai envie de me déshabiller et de la mettre dans la même tenue que moi, mais chaque chose en son temps, d’abord le baiser et le fait de pas se faire mal. Je tombe sans me faire mal sur le canapé en premier rapidement rejoints par ma belle qui tombe sur moi à califourchon, ce n’est donc pas le lit qui va accueillir nos premiers ébats mais le divan 3 personnes.

    Cela n’a pas l’air de la gêner, moi qui croyait que pour sa première fois, elle aurait préféré un bon matelas mais que soit, je pose mes mains sur ses cuisses, je lui fais une déclaration entrecoupée de soupir, mes mains sagement sur elle, j’attend encore un peu avant de commencer à la caresser, même si elles viennent de se poser sur ses fesses, je la découvre même si je lui ai déjà mis plus d’une fois la main là. Elle plus joueuse, car elle l’est, je la laisse faire, elle passe ses mains sur mon torse, mes épaules, mes bras, ma nuque et mon visage, je soupire de plus en plus, je me laisse faire, elle joue avec mes cheveux, dieu seul sait que j’aime ça, enfin non Maria le comprend aussi, car elle cesse de m’embrasser pour continuer de me caresser le crane, je ne laisse plus mes sur ces fesses, doucement je les glisse sous son tissu qui couvre son buste, je commence à lui caresser doucement le dos. Aucune raison de ne pas commencer à lui faire du bien moi aussi.

    Dans notre pièce règne presque silence religieux ou seuls les bruissements de nos peaux sous nos caresses ainsi que nos murmures se font entendre, mais une sonnerie désagréable hurle, saleté de téléphone fixe, aucun de nous deux n’a pensé de le débrancher mais c’est toujours quand on décide d’être tranquille qu’une personne à le don de vous agacer. Maria se lève après avoir crispé ses mains sur mes épaules, elle m’embrasse brusquement et décroche, je l’écoute parler un petit pour finir par me lever et par la rejoindre pour la prendre par la taille. Un peu machinalement, je viens d’appuyer sur le bouton du haut parleur car je crois savoir qui est entrain de gâcher notre relation, quand j’entends Ayame qui est bien à la personne que je pensais, parler à Maria sur un ton qui ne me plais guère car elle vient d’ordonner à ma compagne de me passer le téléphone ce qu’elle fait les yeux humides, je prend le combiné que je dépose sur la table, je veux que Maria entende ce que je suis entrain de dire à Ayame

    « Salut Ayame ! »

    « A enfin te voilà toi ! Je pensais qu’elle ne te passerais jamais l’appareil ! »

    « Maria te l’a dit pourtant nous sommes occupé ! Tu veux quoi ? »

    « Que faites vous de si important pour que tu sois si pressé ? T’es sur qu’elle est vraiment que la nounou cette jeune fille? »

    « Si tu savais Ayame … Elle est nettement plus douée que toi dans tout les domaines ! Et après tout cela ne te regarde pas nous sommes divorcé, je te signale! »

    « N’oublie pas que je suis la mère de Sho ! Bakai Renji ! »

    « Ne t’inquiète pas-tu me le rappelles assez souvent pour pas que je l’oublie ! Mais dis moi t’en à pas marre là ? »

    « Continue comme ça à faire le malin et tu ne verras plus TON FILS ! Il est ou d’ailleurs le bout chou ? Il est avec la nounou ? »

    Je ne réponds pas de suite car je viens de voir, Maria passer une de ses mains sur son visage, j’entends des sanglots aussi, merde Ayame a du être une vraie vipère avec elle, sans en dire plus je reprends vite fais ma conversation avec mon ex femme

    « Attend deux secondes Ayame ! »

    J’en dis pas plus, elle peut me répondre je m’en moque, je ne l’écoute pas parce que je quitte ma position pour aller rejoindre ma chérie, que je prends dans mes bras, avant de commencer à lui sécher ses larmes, j’en profite aussi pour lui glisser quelques mots

    « Chérie, je suis désolé ! Ayame n’est qu’une peste je ne sais pas ce qu’elle t’as dit mais viens avec moi s’il te plait, ne reste pas seule rentre avec moi. »

    Je lui prends la main dans la mienne que je serre tendrement avant de souffler juste pour moi

    « Elle va me le payer ! »

    Je ne sais pas si Maria vient de m’entendre mais limite j’en ai rien à faire, elle doit savoir qu’elle n’est pas seule, je suis avec elle et pas contre elle. Je rentre en premier, je laisse faire la jeune femme comme elle veut, mais je suis décidé de dire ce que je pense à mon interlocutrice au téléphone, je ne supporte pas qu’on puisse faire du mal à ma petite amie, on est certes depuis peu ensemble mais elle tiens déjà une place énorme dans mon cœur et fais partie de mon quotidien désormais. Au fur et à mesure que je me rapproche, la colère me gagne j’entends Ayame s’égosiller dans son combiné

    « BAKAIIIIIIIIIIII TU VAS ME REPONDRE OUI ? »

    « TE REPONDRE A QUOI ? »

    « POUR LA QUATRIEME OU CINQUIEME FOIS IL EST OU MON FILS ? »

    Je reprends quelques peux mon calme, si je hurle c’est de plaisir plus tard avec Maria, pas avec l’emmerdeuse qui me sert d’ex … Je soupire pour décompresser

    « Ton fils qui est aussi le mien est chez mes parents ses grands parents pour rappel. Tu te souviens d’eux au moins ? Ou t’as pas confiance en eux aussi ? Car ton comportement me le laisse penser ! »

    « Je ne te permets pas de me parler ainsi ! »

    « C’est ballot hein car moi je me le permets ! »

    J’entends quelques insultes de la part de la japonaise alors que je suis entrain de me moquer d’elle en faisant des grimaces à Maria qui me regarde quand les gentillesses ce finissent je reprends enfin la parole pour lui redemander une chose qui me semble importante

    « Heu Ayame c’est quoi la raison de ton appel là ? Car j’aimerais bien retourner m’occuper de Maria merci ! »

    Puis plus rien le silence total, j’entends le bruit d’un appel en absence, on vient de raccrocher ou de me faire raccrocher, je vois Maria sourire devant moi, je ne dis rien mais le sourire que je lui rends veut tout dire, je cours vite jusque la prise du téléphone et la débranche. Voilà ou allons être enfin seul. Une petite chose vient de me traverser cependant l’esprit … J’ai pas de préservatif là sur moi, ils sont dans la chambre à coucher, j’embrasse fugacement ma chérie avant de courir vite les chercher, je les place dans ma poche et revient dans la pièce ou nous nous trouvions tout les deux y a moins d’une minute. Je reprends ma douce dans mes bras, l’embrasse et lui glisse à l’oreille

    « Si nous reprenions là ou on en était ma belle ? »

    Je lui souris et retourne m’allonger sur le canapé en l’attendant et en espérant qu’elle revienne se remettre à califourchon sur moi et qu’elle recommence à me caresser les cheveux avant que nous passions aux choses plus adultes.
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Kondo Maria« Kondo Maria »
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Je n’arrive pas à être mature au point de garder le combiné et dire à Ayame de nous laisser tranquille. Ren est mon mec mais je ne suis pas forte au point d’être capable de me battre pour le garder. Si jamais un jour, il décide qu’il ne veut plus de moi, qu’il a trouvé mieux ailleurs, alors je ne pourrais sans doute rien faire d’autre que le laisser partir. Même si c’est pour retourner avec Ayame. Il le sait très bien, il a réussi à me connaître mieux que quiconque en deux mois et sait que si jamais il part, j’en crèverais. Une vie sans lui est inenvisageable et je refuse d’être ne serait-ce qu’un tant soit peu raisonnable. A travers la porte vitrée fermée, je n’entends pas ce que se disent Renji et Ayame. Je ne veux pas l’entendre. Pour ça que la porte est fermée. Je ne vois que ses lèvres remuer. Ses belles lèvres attirantes et ensorcelantes que je dois quitter des yeux si je ne veux pas lui sauter dessus alors qu’il est au téléphone. Ses lèvres se pincent d’agacement, il grince des dents. Il s’énerve sans que je le remarque maintenant ? A vrai dire, à part avec son ex-femme, je ne l’ai jamais vu énervé. Seulement, même énervé contre sa femme, je ne supporte pas ça, le voir lui parler, ça me rend folle. C’est dingue ce que l’amour peut rendre bête et méchant. Sa femme ne peut plus le voir en peinture – l’indulgence n’est pas vraiment son fort, il faut l’avouer – et il semblerait que ça soit devenu réciproque du côté de Ren. Alors pourquoi est-ce que je me rends malade pour cette dinde ?

Pendant le temps où j’ai quitté Renji des yeux, il a posé le combiné et se tient à présent de l’autre côté de la baie vitrée. Une main se glisse dans la maigre ouverture que j’avais laissée et il l’ouvre en entier. Il est alors juste devant moi et je suis incapable de m’arrêter de pleurer. Je n’aime pas qu’il me voit comme ça, l’air pitoyable. J’aimerais partir, me jeter dans son lit, me cacher sous la couette et la tête sous l’oreiller mais tout ce que je trouve à faire finalement c’est lui tendre les bras comme un enfant pour qu’il me serre. Je n’en reviens pas de tant de chaleur. Ces bras-là, j’ai l’impression d’y avoir ma place. Parfaitement, comme dans un moule. Je ne suis plus agrippée, mais cramponnée, accrochée à lui, à ses épaules fortes. Je me retrouve à sangloter comme un bébé contre lui, à essayer de refouler des larmes qui ne font que couler. Mais arrêtez-vous ! Laissez-nous tranquille. Je n’aime pas vous sentir sur mes joues, vous êtes désagréables, humides, collantes et chaudes. En plus, vous gâchez toujours tout à ne pas être fichues de vous retenir. J’ai beau leur parler, les engueuler même, les larmes ne s’arrêtent pas, et Ren a beau les essuyer, d’autres les remplacent. J’aimerais lui dire qu’Ayame ne m’a rien dit de méchant, que je pleure juste parce que j’en ai assez que tout soit toujours gâché, par elle la plupart du temps, mais le seul son que j’arrive à articuler – et encore c’est un bien grand mot – c’est un petit « oui » minable quand il me demande de rentrer avec lui.

De petits sanglots nerveux traversent encore mes lèvres tandis qu’il murmure quelque chose que je ne parviens pas à comprendre. Il serre brièvement ma main et j’ai l’impression de redevenir une petite fille. A serrer les dents pour ne plus pleurer et se cramponner au bas de sa chemise en le suivant à l’intérieur comme un caneton suivrait sa maman. Il n’a pas coupé le haut-parleur du téléphone si bien que j’entends Ayame hurler, brailler, s’égosiller à l’autre bout du combiné en appelant Ren par son nom de famille. Frappée par l’ardeur et la force qu’elle met à l’appeler, je lâche mon chéri et reste plantée au milieu du salon, les bras le long du corps à ne pas savoir qu’en faire. C’est sûrement pas humain d’être aussi godiche. Je n’aime pas la façon qu’a Ayame de s’exprimer. Vulgaire, avec sa voix nasillarde au lourd accent de la campagne. La conversation reprend sur le même ton qu’elle a commencé. Tout ce qu’elle peut faire pour se défendre, c’est lui interdire de lui parler sur ce ton, ce qu’elle fait immanquablement, mais ce n’est pas ça qui déstabilise Renji. On dirait qu’elle vient d’une famille de nouveaux riches qui ne sait pas encore se tenir. La suite, je ne suis pas sûre qu’il l’écoute vraiment, à force de me faire des grimaces qui me font sourire puis petit à petit rire. Et même quand il la presse un peu en déclarant qu’il veut revenir s’occuper de moi, je ne bronche pas. Avec tous les signaux de fumée qu’on lui envoie, il serait peut-être temps qu’elle s’achète des yeux, ou même un cerveau ça ne serait pas du luxe. Le bip répétitif du téléphone retentit. Elle a raccroché. En me renvoyant un sourire charmeur, il va débrancher le téléphone. Il va revenir m’embrasser et on pourra reprendre là où on s’est est arrê… Même pas. Il m’embrasse à peine du bout des lèvres et court jusqu’à sa chambre, revenant quelques secondes plus tard. Rien à changer.

A son retour, il me prend dans ses bras et à nouveau, c’est à peine si je sens ses lèvres effleurer les miennes. Je vais me balader avec une pancarte « J’ai envie de toi », peut-être que là il va arrêter de me faire languir. Mais reprendre là où on en était… ça c’est une excellente idée. La vipère ne viendra plus nous mordre – et si elle vient frapper à la porte, elle risque de se prendre une sacrée claque dans le nez – alors nous sommes enfin seuls au monde. Le suivant de près, je reste debout devant lui, allongé sur le canapé, à le fixer en passant la langue sur mes lèvres. Un petit tic quand je réfléchis qui peut parfois – comme maintenant – devenir passablement équivoque, mais avec Ren ça n’est pas déplaisant. J’hésite. Finalement, avec des gestes un peu désordonnés et fébriles, je retire sa chemise et la laisse tomber au pied du sofa. Quelques secondes plus tard, c’est mon débardeur qui la rejoint. Revoilà l’habituelle Maria, tremblante de timidité qui se demande si elle n’aurait pas mieux fait de tout garder. Soit, j’ai encore un soutien-gorge en dentelles – noires avec des broderies rouges absolument sublimes – mais je n’ai pas l’habitude devant un garçon. Machinalement, je passe mes mains sur mes tatouages, apparent presque en entier à présent, avant de remonter à califourchon sur lui. Il est là, sous moi, à moi, entièrement à ma merci, incapable de se défendre. Non, je ne vais pas le tuer. Notre baiser reprend avec passion tandis que mes mains glissent sous sa chemise. Quand elles ressortent, elles s’attaquent aux boutons. Il y en a trop mais aucun ne me résistera. J’aime sa peau mate, douce et légèrement moite à cause de la chaleur qui s’est installée dans la pièce et ne semble pas vouloir la quitter. Cette chemise ne lui va pas. Il est beaucoup mieux sans. Tout doucement, mes mains parcourent son torse en détail tandis que je ne quitte pas ses lèvres à part pour aller jouer avec sa nuque. Mon cœur est tel un explosif. Il est. Il est beau et c'est pas croyable. Je ne contrôle plus mon corps. Je me perds dans cette histoire, au fur et à mesure. Mais il est là et c'est tout ce que réclame mon cœur. Ardant désir de ses lèvres qui se consume lorsque ses doigts effleurent ma peau. J'aime sentir ce contact.
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    J’en ai marre d’Ayame et de ces crises d’autorité, elle me les faits à chaque fois que nous nous parlons au téléphone, quand je prend Sho pour mon tour de garde, elle ne cesse de mes rappeler toutes précautions à prendre, à chaque fois cela me soule, je soupire tout le temps durant ce passage. Là encore je suis entrain de soupirer car elle m’énerve, et quand je vois ma douce pleurer derrière cette foutue baie vitrée, j’ai envie d’arracher les yeux de mon ex femme, j’ai beau lui faire comprendre là maintenant tout de suite que je ne veux pas lui parler car je veux m’occuper de ma petite blonde, mais non l’égoïsme d’Ayame est plus fort que tout, l’entendre hurler dans le combiné me gave. Je pose alors le combiné et effectue la manipulation pour passer en mode main libre, je bavarde encore un peu avec elle mais tout en gardant un œil sur la véranda ou est Maria, j’en peux plus la voir pleurer me fend le cœur. Au bout d’un moment j’arrive enfin à imposer le silence à la vipère au téléphone, c’est presque au pas de course que je me lance vers la véranda, alors que quelques mètres me sépare de la porte vitrée, tout doucement je la pousse et enfin cette fameuse porte après avoir glissé mes doigts dans l’entrebâillement laissé par ma compagne, je vois qu’elle ne cesse de pleurer, là cette fois Ayame va me trouver j’en suis certain, elle peut être la mère de Sho mais elle dépasse les bornes, je suis amoureux de Maria et que cela lui plaise ou pas, un jour elle deviendra elle aussi ma femme. Elle me tend les bras, elle a besoin de réconfort, je ne me fais pas prier, et je commence tout doucement à la bercer dans mes bras, mon cœur palpite, danse la java ou tout ce que vous voulez. Je suis plus qu’amoureux d’elle, je l’ai dans la peau cette demoiselle, elle se s’accroche à mes épaules, je la cale encore plus contre moi, qu’elle sente bien que je suis là et que pour rien au monde je ne la laisserai tomber. Sa place dans mon cœur est la plus grande avec celle de sho, c’est du presque du cinquante cinquante, oui presque car dans mon cœur, il y a aussi mes parents et même si je ne lui parle plus, ma sœur y est aussi. Un jour peut être nous nous reparlerons mais pour le moment je m’occupe de ma chérie. Elle sanglote encore, je lui embrasse ces cheveux, sensible je savais qu’elle l’était mais pas à ce point là. Je lui essuye doucement et tendrement ses larmes. Je suis plus que fâché sur la mère de mon fils, si je pouvais, je lui arracherais la langue. Quand je demande à ma belle de rentrer avec moi, elle me minaude un petit oui, je comprends qu’elle aie du mal à articuler avant que nous rentrions.

    Je suis entrain de murmurer ma haine contre mon ex, mais je ne sais pas si Maria m’a entendu, il ne faudrait mieux pas, car je n’y pas été de bon cœur, elle se cramponne à moi pour rentrer alors que je viens de lui serrer la main pour l’encourager, j’entends encore de faible sanglots sortir de sa si belle bouche, j’ai laissé le haut parleur Ayame croasse, brame, hurle se casse la voix, encore et toujours, ce refrain je le connais elle m’appelle par mon nom de famille, venant d’elle j’ai cela en horreur. Elle oublie des fois que nous avons été marié et que ce nom à été le sien, mais dans sa voix il résonne comme une insulte, elle me traite presque de baka en me nommant Bakai, j’avoue que cela s’en rapproche mais bon quand même. D’un coup Maria me lâche et je ne sais pas pourquoi mais je regarde alors que ses bras sont le long de son corps prise de panique ou entrain d’essayer de se dominer pour ne pas tuer Ayame ? Je n’en sais rien, mais elle m’inquiète assez fort là, malheureusement la vipère continue de cracher son venin, la voix toujours aussi agressive, nasillarde quand elle s’enflamme. Je ne l’écoute plus, je préfère essayer de faire rire ma chérie avec des grimaces. Je réussi car je la voit rire à nouveau, c’est tellement mieux mais qu’elle ne s’inquiète pas je vais vite couper court à ce coup de fil gênant et inopportun, je fais tout pour en tout cas, car je viens d’annoncer à mon ex que je veux retourner m’occuper de Maria, quand va-t-elle comprendre que nous sommes ensemble ? Si j’étais sur mon lieu de travail j’aurais entendu un truc du genre

    « Garçon un cerveau pour la mère de votre fils ! Un ! »

    Ou encore une réflexion comme

    « Une dose de jugeote pour cette personne et des yeux en plus car la baby-sitter est toujours là avec vous ou presque quand vous allez chercher le petit ! »

    Un bip assez annonciateur ce fait entendre, elle a du raccrocher, n’aimant sans doute pas ce que je viens de lui dire, dommage moi qui allait lui dire franchement qu’elle m’énervait et que Maria était beaucoup plus pour moi qu’une simple nounou… La prochaine fois, elle l’aura en guise de bonjour et cela je m’en fait le serment en moi-même. J’envoie un sourire des plus charmeur à Maria avant d’aller débrancher la prise du téléphone. Maria et Renji sont indisponibles pour ce weekend n’essayez même pas les mobiles, les batteries font grèves. Le pigeon voyageur est à exclure aussi. J’aimerais donner quelques consignes à monsieur Miasaki mais non mauvaise idée, je sais qu’il ne garde jamais un secret pour lui bien longtemps et je n’ai pas envie de mettre en péril ma relation avec Maria tout à cause d’un service que j’ai demandé à mon concierge.

    J’embrasse rapidement ma petite amie car j’ai remarqué que je n’avais pas de préservatif à portée de main et il est de question que je la mette enceinte maintenant, elle n’a que dix huit ans, elle est encore jeune, elle a besoin de s’amuser, de suivre ces cours et je veux profiter d’elle un peu avant. Je vais dans notre chambre et en reviens assez rapidement. Cette fois nous pouvons reprendre là ou nous en étions, mes lèvres effleurent un peu les siennes après qu’elle soit de nouveau dans mes bras, je suis un monstre car je la fais languir, mais moi aussi je me languis d’elle, je lui glisse quelques mots en lui demandant si elle aimerait qu’on reprenne là nous en étions avant que le dragon ne nous téléphone. Personne ne viendra frapper à la porte, ou du moins je l’espère. Enfin coupé du monde, je m’allonge sur le canapé invitant ma belle à m’y rejoindre, je la regarde se passer la langue sur ses lèvres, c’est assez érotique comme geste, je sens encore plus l’envie en moi. Elle retire ma chemise qu’elle porte et la jette au pied du canapé, son débardeur rejoint assez vite son autre vêtement, je découvre enfin du regard ses formes féminines, dans pas longtemps se sont mes mains et mes lèvres qui vont les parcourir. Je découvre aussi en plus d’un magnifique soutient noir et rouge en dentelle, deux magnifique tatouages, cela ne me gène pas que du contraire, je trouve cela très joli et du plus bel effet. Elle remonte à califourchon su moi, je ne peux m’empêcher d’effectuer quelques mouvement de bassin. Je suis à sa merci mais cela ne me déplait pas, au contraire car notre baiser reprend de plus belle avec passion et chaleur. Ses mains passent sous ma chemise, et ressortent, je la laisse faire, j’y prend du plaisir, la laissant découvrir mon corps comme je vais découvrir le siens après. Elle commence à défaire mes boutons et caresse mon torse à demi nu, je me soulève un peu pour l’aider à me débarrasser de ma chemise, mais je continue de l’embrasser, elle continue de m’embrasser alors ma tête se repose sur le coussin et que ses mains se baladent sur moi. Doucement moi aussi je commence à la caresser, mes mains glissent sur son dos, jouant un peu avec l’agrafe de son soutient, j’ai bien envie de lui défaire mais pas de suite, elle m’embrasse au niveau du cou, c’est doux, c’est bon, c’est tendre. Je me laisse aller à me glisser sous son jeans, je découvre un autre tissu, pas grave, j’explore doucement et l’élastique glisse aussi vite au dessus de ma main, je n’en peux plus, il faut que je découvre encore plus d’elle, son pantalon attendra surtout que j’ai une idée en tête, elle la découvrira plus tard, mais elle connaitra j’espère certains plaisir. J’en revient à son soutient, cette fois se sont mes deux mains qui doucement passent en dessous, sa peau est si douce, j’ai tant envie de l’embrasser, doucement je fais sauter la première agrafe avant d’attaquer la seconde d’un geste précis et sur, même si je tremble un peu non pas de peu mais d’excitation. Je fais glisser un peu les bretelles pour avoir son dos totalement nu, cette fois je la presse contre moi et nous retourne un peu pour pouvoir lui enlever totalement se dernier bout de tissus, mais avant de me plonger sur sa poitrine qui ne demande qu’a ce que je l’embrasse, je la regarde avec envie tellement elle est belle, dire que cette déesse est à moi. Je profite de ses lèvres que j’aime tant gouter. Je suis un homme chanceux et qui connais la valeur de l’amour. Maria est certes dix ans plus jeune que moi mais elle est aussi mature voire plus qu’une femme de son âge de plus, je suis terriblement amoureux d’elle et l’afflux de sang à un certain endroit prouve que ce que je pense. Car aucun mot de sort de ma bouche, seul nos râlements et nous soupir viendront dorénavant briser le silence d’une pièce ou l’amour règne en maitre.
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Kondo Maria« Kondo Maria »
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MessageSujet: Re: A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot )   A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot ) Icon_minitimeMer 24 Aoû - 0:55

C’est la première fois que j’ai envie d’un homme à ce point. C’est en fait la première fois que j’ai envie d’un homme, mais ça se passera de commentaire. Avec Ren, et en ce moment précis, j’ai l’impression que je pourrais me transformer en tigresse juste pour lui plaire et lui faire du bien alors que si je raisonnais avec mon cerveau, je ne saurais pas par où commencer et je finirais roulée en boule à rougir comme une demeurée d’être si godiche. Pour une fois, je me sens bien. Le corps de Ren est comme une invitation à la décadence. Décadence dans laquelle je plonge en chute libre, sans filet de secours ni rappel. Je m’y noie. Son torse est une fête foraine à lui tout seul. S’il n’en tenait qu’à moi, je passerais des heures à le découvrir. Avec les mains, avec la bouche. Pour l’instant avec les mains, ma bouche est trop occupée avec la sienne. J’ai les lèvres déjà engourdies mais impossible de cesser de l’embrasser. La passion et l’envie sont plus fortes que la raison. Je ressens tout décuplé. Sa peau sous mes mains est souple et douce. Pas une imperfection ne vient troubler leur chemin de découverte. Du bout de mes doigts tremblants, j’arrive malgré tout à tracer une ligne imaginaire de sa gorge à son nombril et plus bas encore, m’arrêtant à sa ceinture en l’effleurant à peine. Cette partie-là sera pour plus tard. Le meilleur pour la fin, comme on dit.

Etrangement, les mains de Ren sont beaucoup plus promptes que les miennes. Assurées, décidées et fermes sur moi. J’en ai des frissons incessants qui remontent le long de la colonne vertébrale, exactement sous ses mains. Le visage enfoui dans son cou, je cambre le dos à la recherche de plus de contact. Il me rend folle. Ce simple contact me fait monter au plafond. Sans parler du moment où je sens l’élastique de mon jean me serrer et deux mains effleurer, non pas le tissu du pantalon mais bel et bien celui de ma petite culotte, assortie au soutien-gorge. Incapable de m’en empêcher, un petit gémissement s’échapper subrepticement de mes lèvres. C’est inhumain d’être sensible à ce point. J’ai envie qu’il me touche de partout et je veux pouvoir le toucher aussi de partout. J’ai envie de lui là, maintenant, tout de suite, dans l’instant et cette fois-ci plus personne ne pourra nous empêcher d’aller jusqu’au bout. En un rien de temps, ses mains laissent mes fesses en paix et reviennent parcourir mon dos. Sans que je sache comment, elles se retrouvent à triturer mon soutien-gorge. Je suis presque allongée sur lui à présent, le visage enfoui contre sa nuque brûlante. Plus moyen de faire le moindre mouvement. J’ai beau tenté de me redresser, mes bras me lâchent à chaque fois.

Surtout quand il dégrafe entièrement le haut de mes sous-vêtements. Petit à petit, comme si ces gestes lui procuraient un plaisir fou, il retire lentement une à une les bretelles de mes épaules. Pressée contre lui, je sens encore le tissu rêche du soutien-gorge entre nous. Je n’en veux plus. S’en débarrasser et vite. Presque aussi lentement que lui, je relève la tête pour aller chercher ses lèvres. Je n’ai plus de force. Ou presque. Assez pour l’embrasser comme si notre vie en dépendait et pour me hisser à nouveau sur mes bras. Assez pour dériver sur sa nuque et l’embrasser sous l’oreille. Assez pour sentir la pointe de mes seins effleurer sa peau. Un soupire quitte mes lèvres suivi d’un murmure que lui seul pourrait entendre :
    « On ne peut être heureux si l’on ne désire rien. Tu le savais, ça ? Moi, j’ai envie de toi et je me sens pleinement heureuse. »
Pourquoi faut-il que le moindre de ses gestes sème le désordre dans mon cœur comme un ouragan ? Se rend-t-il compte qu’après son passage, je suis obligée de tout remettre en place ? Sans un mot de plus, mes lèvres descendent sur son épaule et en épousent le galbe parfait. Elles bifurquent ensuite sur sa gorge, suivant le contour des nerfs, puis viennent caresser sa pomme d’Adam. Il est parfait. Sous moi, je le sens se tendre de tout son corps. Du bout de la langue, je descends jusqu’à sa ceinture, m’amusant avec la ligne qui part de son nombril et va jusqu’au bas ventre, disparaissant dans son jean. J’ignore ce que j’y vois d’autre pour l’instant et me redresse, le visage à quelques millimètres à peine du sien. S’il en va de même pour mon bassin, cela ne m’empêche pas d’esquisser quelques mouvements contre lui, sous couvert de la protection de nos jeans. J’ai déjà le souffle court alors que rien n’a commencé. Timidement, je réussis néanmoins à glisser une main dans son jean, pour aller jouer avec l’élastique de son boxer avec de plus en plus d’envie. Vient le moment où je tire un peu trop fort et le boxer se baisse quelque peu, entraînant le jean avec lui. Quelle vision appétissante malgré les cheveux qui retombent dans mes yeux et me bouchent la vue. Tout doucement, je me penche à nouveau vers lui et écarte quelques mèches de son visage avant de l’embrasser langoureusement. Découvrir l'intimité d'une personne, c'est un peu connaître son âme. En ouvrant les portes d'une chambre, d'une alcôve ou d'un boudoir, on y entre un peu…
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MessageSujet: Re: A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot )   A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot ) Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 15:22

    La température fait plus que monter entre Maria et moi, elle devient torride, j’ai envie d’elle et c’est réciproque. Je ne réfléchi pas, d’ailleurs je n’ai pas à le faire, car je suis fou d’elle, le désir en moi est plus que grand, je veux la posséder, lui faire connaitre tout les plaisirs possible et imaginable, je vais la dévêtir, découvrir ce corps qu’est le siens avec mes lèvres et mes mains et ensuite je ferai doucement car cela risque d’être douloureux pour elle. Mais je n’y pense pas encore totalement, je profite de notre baiser et de ses caresses avant tout. Nos langues jouent à se chercher, se toucher. Elles entament un balais tendre, j’aime cette danse, une danse érotique et passionnante. Ses mains sont si douces je les sens glisser sur moi et seul le léger bruissement de nos peaux en plus du doux son de nos langues se fait entendre. Eros dieu de l’amour charnel devrait être heureux de voir un tel spectacle. Je frissonne un peu quand elle trace avec ses doigts une droite verticale de ma gorge jusqu’à mon nombril. Mes mains sont sur elle aussi, je suis tendre mais décidé. Je joue de mes doigts sur sa colonne vertébrale, je la sens se cambrer, c’est une invitation pour moi à aller dans son pantalon, j’aurais pu me contenter de poser mes mains sur ses fesses couvertes de sa petite culotte au doux tissus, non moi j’en veux plus, mes doigts glissent doucement en dessous, nous somme encore entrain de flirter mais je l’entends un peu gémir. Attend ma belle tu gémiras encore plus tard et bien plus fort encore, je t’en donnerai l’occasion. Voilà ce que je pense à ce moment précis.

    Je suis de plus en plus envahi de désir, j’ai envie de la toucher vraiment partout et qu’elle en fasse de même. Je rejoue à faire courir mes doigts sur son dos, lui dégrafe assez vite la partie la plus haute pour ensuite m’attaquer à la seconde alors qu’elle est presque allongée sur moi. Elle m’embrasse le cou d’une manière assez équivoque, c’est bon de sentir sa respiration contre moi, je me mords la lèvre inférieure en grognant légèrement de plaisir. Je suis entrain d’en finir avec ce sous-vêtement je suis méticuleux dans mes gestes, je vais doucement très doucement pour lui abaisser chaque bretelles, elle a le haut du corps presque nu, il ne reste plus qu’à faire glisser le tissu qui reste entre nous. Ce dernier va vite rejoindre nos vêtements déjà tombé, car elle vient de relever la tête alors j’en profite, je le jette doucement sur le sol, l’amour de ma vie ne me laisse pas le temps de m’occuper de sa jolie poitrine de nouveau l’embrasse à pleine bouche, pas grave j’en profiterai plus tard, je sens la pointe de ses seins sur moi, c’est aussi tendu que moi, je sais déjà que je vais aimer les embrasser et les caresser, elle m’embrasse en dessous de l’oreille, je l’y invite en posant mon avant bras droit sur son dos et ma main est bien calée dans sa nuque. Elle soupire quelque peu et me glisse à l’oreille « On ne peut être heureux si l’on ne désire rien. Tu le savais, ça ? Moi, j’ai envie de toi et je me sens pleinement heureuse. » je souris heureux d’entendre de tels mots de sa bouche.

    « Tu me l’apprends mon amour, je savais qu’on ne pouvait pas vivre sans amour, moi une chose est sure c’est que je ne peux pas vivre sans toi et que je te désire tellement. Tu me rends heureux Maria. J’ai envie de toi. »

    Ma voix est juste audible pour elle, je murmure, mais je suis si sur de ce que je lui dis. Maria ne s’en rend pas compte mais une telle déclaration me donne encore plus envie de lui demander d’habiter avec nous et lui faire l’amour est devenu presque vital, Presque un silence revient, seuls nos murmures se font entendre, les lèvres viennent épouser la forme de mon épaule, pour filer sur ma gorge font le tour de ma pomme d’adam comme on fait le tour d’un rond point, je ne bouge pas encore car j’aime ce qu’elle me fait, mon sang n’irrigue plus qu’un endroit précis de mon corps à ce moment là et encore plus quand sa langue descend de ce point vers mon nombril, nos visages se touchent presque, nos bassins s’activent et commencent des vas et vient même si nous portons encore nos bas. Je gémi légèrement je sais que cela va être divin. Sa main glisse sous mon boxer, elle joue avec mon élastique, un peu trop fort certainement emportée par l’envie et le désir car mon boxer glisse et entraine un peu avec lui mon jeans, mon colosse sort un peu de sa cachette, et a envie de faire connaisse avec la fleur d’amour de Maria, mais pas de suite je prends mon temps car si elle a pu gouter de ses lèvres ma peau, je n’ai pu encore en faire de même. Nous échangeons un nouveau baiser langoureux, d’un mouvement de rein, je nous relève en continuant de l’embrasser, je la tiens pour ne pas la faire tomber je pose mon dos contre le dossier du canapé, je garde mes bras autour d’elle pour tenir notre position, elle est toujours à califourchon mais je peux moi aussi maintenant l’embrasser sur le haut de son corps. Je commence doucement sur sa gorge ou je dépose de petit baiser avant de descendre doucement vers sa poitrine. Du bout des lèvres j’attrape son mamelon gauche que je commence doucement à suçoter, ma main gauche viens se poser sur son coté droit, palpant doucement son joli muscle, ma langue continue la découverte de sa montagne de bonheur gauche. Je suis bien occupé de commencer à donner du plaisir à ma petite amie quand j’entends qu’on frappe une première fois à la porte, je fais semblant de rien entendre et je reprends mon lapement. J’ai tant attendu ce moment que je ne veux plus rien gâcher, je l’ai déjà assez fait, mais les coups dans la porte se font de plus en plus insistant, Ayame tu me gonfles et sérieux là. Voilà ce que je pense maintenant. Je suis entrain de m’imaginer lui refermant la porte au nez ou de la laisser continuer de toquer. Maria doit elle aussi entendre, mais je ne l’entends pas réagir tant mieux et même si elle le fait, je la laisserai pas répondre aux provocations de mon ex.

    « Renji ! Ouvre s’il te plait ! »

    Cette voix c’est pas celle de mon ex mais d’une personne qui c’est occupée de moi petit ! Et les frappes sur la porte reprennent

    « Renji, ouvre s’il te plait c’est maman ! »

    Merde ! Ma mère, nous sommes à demi nu avec Maria, enfin moi je le suis presque car une partie de mon bas c’est dérobé ce qui était pas fait pour me déplaire sous les caresse de ma chérie bien au contraire. Que se passe t il ? Mes parents savaient que nous voulions être tranquille. Une sombre idée me passe à travers la tête, il a du arriver un malheur au petit. Pitié non tout mais pas ça, je suis entrain de me reconstruire et de remonter la pente grâce à Maria, pourvu que cela ne soit rien de grave. J’entends encore la voix de ma mère, elle doit se douter que je m’inquiète

    « Ren, ne t’inquiète pas c’est rien de grave, le petit n’a rien ! »

    Mais pourquoi venir alors ? Je doute que mes parents veulent nous déranger. Ne pouvant me résoudra qu’à lui répondre je dois lui demander d’attendre un peu sans préciser pourquoi. Je suis dégouté car j’ai envie de Maria et l’inverse est aussi valable.

    « okasan attends deux minutes s’il te plait, on va venir t’ouvrir mais il se passe quoi ? »

    J’entends les pleurs du petit à travers les murs et mon père qui chantonne un air qu’il connait par cœur mais il chante toujours aussi faux. Bon ils sont trois mais hors de questions d’aller ouvrir nu.

    « Sho pleure après un certain panpan »

    Ce nom ne me dit franchement rien, je en sais pas de quoi elle et il parle, panpan serait ce le nom de son doudou? Je réfléchis quelques secondes en regardant Maria l’air de dire que je ne comprends pas de quoi s’agit il. D’un coup le déclic, je glisse un baiser à Maria et lui demande

    « Panpan ne serait pas la peluche que tu lui a offerte chérie ? »

    Je ne vois que cela, mais je suis certain de l’avoir vu dans ses mains au moment ou il partais. J’espère qu’il ne l’a pas perdu car il avait l’air de tenir à cette magnifique peluche. Mais décidément jamais on ne pourra faire l’amour ma femme et moi. Après avoir soupiré j’annonçais à nos visiteurs

    « On va arriver. »

    Et vous allez vite dégager car on était occupé et qu’une fois de plus on a été stoppé dans nos relations sexuelles . Ayame au téléphone Sho et sa peluche décidément le sort était contre nous.
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Kondo Maria« Kondo Maria »
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MessageSujet: Re: A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot )   A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot ) Icon_minitimeVen 26 Aoû - 15:27

    « Tu me l’apprends mon amour, je savais qu’on ne pouvait pas vivre sans amour, moi une chose est sure c’est que je ne peux pas vivre sans toi et que je te désire tellement. Tu me rends heureux Maria. J’ai envie de toi. »
Je ne sais pas si c’est la chaleur – disons plutôt la fournaise – ambiante de la pièce ou les mots de Renji, mais je sens mon visage s’embraser. Tout mon corps en fait. De la pointe des cheveux au bout des orteils. Bonjour, on me surnomme La Torche. Mais ces vêtements, qu’est-ce qu’ils peuvent m’énerver alors. Pourquoi sont-ils toujours là quand on en a le moins besoin ? Prenez quand il fait chaud par exemple. On transpire, les vêtements collent à la peau et quand on veut les enlever – oui ça m’arrive souvent de me balader en sous-vêtements chez moi – pas moyen tellement ils sont collants et accrochés à vous comme des sangsues. Alors quand je m’énerve, ils se retrouvent tous retournés. Si seulement les vêtements de Ren je pouvais les arracher avec les dents, je ne m’en priverais pas. Mais arracher un jean avec les dents, j’y crois moyen. Pas sûre qu’il ait encore envie d’une fille sans dent. Une blonde sans ses dents, même une fausse blonde. On est déjà connues pour avoir de l’eau dans la tête à la place du cerveau, alors les dents en moins, ça serait vraiment inciter les gens à se payer notre tête. Quoiqu’il en soit, là n’est pas la question, mais plutôt ces foutus vêtements.

De la manière dont je suis assise, je sentirais presque monter son désir. En fait, c’est le cas. Et je dois avouer que même avec le contact du jean, ce n’est pas désagréable. Au contraire, c’est même étonnamment attrayant. J’ai pleins de petits papillons qui jouent aux auto-tamponneuses dans mon bas ventre. Des mouvements du bassin incontrôlés et incontrôlables. J’ai envie de lui à un point inimaginable. Désespérément. Ce n’est pas humain d’être aussi beau et désirable. Il n’y a pas à dire, tous les garçons avec qui j’ai craqué auparavant ne sont plus rien. Il est incomparable. Un corps de dieu grec et de l’or dans les mains et dans le cœur. Que demander de mieux ? Ah oui, une paix royale pour le weekend, par pitié. Ses mains sur mes reins, sous mon jean et ma culotte, sont parties en exploration. Des mains expertes. D’un mouvement de reins qui me fait sursauter et laisser échapper un petit soupire, il nous redresse tous les deux et s’adosse au canapé en position assise. Je m’agrippe à sa nuque, restant toute proche de lui, de sa chaleur. Impossible de s’en défaire de toute façon. Ses mains sur mes reins, et sa bouche sur ma gorge. Il y a des étoiles au plafond, ou bien elles sont uniquement imprimées sur ma rétine. Plus ses lèvres descendent, plus je me penche en arrière, appuyant mes mains sur ses genoux.

Sa bouche sur mes seins, j’en monterais au plafond mais ses genoux sont bien mieux. J’en perds la tête. Pensées incohérentes, chaleur étouffante et plaisirs indicibles. Mêlez les trois et vous obtenez un mélange détonnant et étonnant. Un expert en la matière, mon Ren. La tête en arrière, je finis par fermer les yeux. Incapable de supporter une autre vue que la sienne pour l’instant et ce n’est pas comme si le plafond était bien intéressant. C’est un étrange plaisir que celui de la chaire, un plaisir qui vous tord le cœur et envoie des papillons dans votre ventre, qui vous dit de le satisfaire rapidement mais vous donne envie de prendre tout votre temps. J’en suis à ce genre de pensées pas très philosophiques quand un petit gémissement m’échappe. J’ai l’impression qu’on frappe à une porte mais c’est tellement lointain que ça doit être chez le voisin. Seulement, même Ren semble l’avoir entendu car il s’interrompt un bref instant. Très bref. Et quand il reprend, j’ai l’impression de mourir à nouveau. Nouveau gémissement, nouveau coup frappé à la porte d’à-côté. Insupportable. Il pourrait aller ouvrir le voisin. Je l’ai vu tout à l’heure fermer sa porte alors que j’arrivais au pallier. Il n’a pas pu sortir entre temps. Pitié allez ouvrir ! Seulement, au plus j’y réfléchis, au plus les coups me paraissent proches. J’ouvre un œil, puis le deuxième. Merde. C’est bien à notre porte qu’on frappe. Ayame avait donc tout prévu ? Elle était en bas à savoir si Ren répondrait ou pas à ses appels pour ensuite venir nous faire chier jusqu’ici.

Seulement non. A la place de la voix de poissonnière d’Ayame, c’est celle de sa mère qui filtre à travers la porte. Une voix haute, inquiète et douce à la fois. Elle appelle Renji, lui demande qu’il ouvre. Je me redresse légèrement quand il fait de même, observant la porte comme si elle allait exploser et qu’elle allait nous découvrir dans cette tenue. A nouveau elle appelle. Je n’arrive pas à me décider à me lever de ses genoux. Si elle est là, c’est que son mari et Sho aussi doivent l’être. Pourquoi revenir quand ils sont partis depuis une heure à peine ? Et si Sho avait eu un problème ? Je l’entends pleurer à travers la porte. Je n’aime pas ça. Il ne faut pas qu’il pleure, mon bébé. Après notre silence évocateur, sa mère continue en le rassurant. Sho n’a rien. Alors pourquoi pleure-t-il s’il n’a rien ? J’esquisse un mouvement pour me lever mais Ren ne semble pas encore décidé à me lâcher. Tant pis, je me rassois et cesse de bouger, passant les bras autour de lui tandis qu’il lui crie qu’on arrive dans deux minutes. Ah bon ? Et si on les laissait à la porte ? Et si… Ah non, je ne supporte pas d’entendre Sho-chan pleurer. Après un certain… Panpan ? Comme le lapin de Bambi ? Je ne me souviens pas lui avoir déjà vu une quelconque peluche de lapin. C’est bizarre. Un baiser me surprend, je me tourne vers Ren avec de grands yeux.
    « Panpan ne serait pas la peluche que tu lui a offerte chérie ? »
    « Euh si… peut-être… mais je me souviens l’avoir vu partir avec… je crois… »
Je fronce les sourcils. Moment intense de réflexion. J’avais bien dit à Spider de prendre soin de lui et elle a oublié sa peluche. Franchement avoir douze yeux ça ne lui réussit pas non plus. Finalement, je me lève et attrape notre boule de fringues, tendant sa chemise à Ren. Quant à moi, je remets simplement celle que je lui ai empruntée et cache le tout derrière un coussin. Tout en la boutonnant jusqu’au dernier petit bouton, je trottine jusqu’à la chambre. C’est là que je l’ai emmené pour la dernière fois et il ne l’a pas perdue dans le couloir, je l’aurais vue sinon. Elle est bien dans la chambre, négligemment laissée sur le couvre-lit. Quelques secondes plus tard, je reviens dans le salon, tenant dans mes bras le dénommé Panpan le Panda. En revenant, je désigne la peluche à l’attention de Ren en souriant légèrement. J’ai plus envie de pleurer que de sourire, mais c’est comme ça. Impossible de laisser Sho pleurer derrière la porte. Une fois qu’il a remis sa chemise en place, j’ouvre la porte en grand. Mon bout de chou a les joues inondées de larmes et le visage rougi d’avoir tant pleuré. Voyant la peluche, sa grand-mère me le tend. Je le prends dans mes bras et d’une main lui met la peluche sous les yeux.
    « Ne pleure plus, mon bébé. Regarde, Panpan est là, tu l’avais juste laissé à la maison. »
En voyant sa peluche, Sho tend les bras en couinant et la serre fort contre lui. Je me tourne vers Ren et m’écarte de la porte pour laisser entrer ses parents. Inutile qu’ils repartent tant que Sho n’est pas calmé. Il se calme lentement. Ce ne sont plus des sanglots mais de petits hoquets qui lui échappent tandis qu’il câline sa peluche.
    « Entrez un instant, pour laisser le temps à Sho-chan de se calmer. Et après, tu retournes avec huh… papi et mamie, d’accord mon cœur ? »
Il me regarde avec ses grands yeux humides et je ne peux rien faire d’autre que l’embrasser longuement en le berçant.
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MessageSujet: Re: A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot )   A love so beautiful and so soft! It is with you that I saw him ( Maria ♥ /!\ Pegi 18 > Hot ) Icon_minitimeDim 28 Aoû - 13:04

    L’érotisme dans un couple est l’essence même du désir. Cette essence elle coule entre Maria et moi, nous sommes plein de désir l’un pour l’autre, nous brulons d’envie de faire l’amour, nous avons été arrêté par une sorcière suite à un coup de téléphone qui a commencé dans les larmes et fini par une dispute. Ayame me le payera un jour ou l’autre j’en suis certain. La température est entrain de monter entre Maria et moi, c’est déjà chaud mais quelques mots doux et surtout qui viennent du cœur, nous embrasent encore plus, je suis amoureux de cette femme et je lui fait savoir. Ma chemise est de trop et elle m’en débarrasse après avoir enlevé le vêtement qu’elle m’a emprunté et qui lui va si bien et son haut qu’elle portait à son arrivée. Elle était trop habillée à mon gout, au fur et à mesure que nous nous embrassons que nous nous câlinons, les caresses se font intense. Elle m’embrasse le torse, et d’autres parties du haut de mon corps.

    Le désir me monte de plus en plus, j’ai chaud trop chaud mais une bonne chaleur est en moi, je la sais assise sur moi et quelques mouvement de bassin se font, doucement tout doucement, cela viendrait plus tard car pour le moment nous avons encore jeans. Ce n’est réellement pas désagréable mais quand même. Je suppose qu’elle doit sentir mon colosse redressé, cela ne me gêne absolument pas, au contraire elle peut voir ainsi à quel point est mon envie. J’ai un besoin énorme de la toucher de l’embrasser. Que ce soit de ses lèvres ses mains je frissonne de plaisir quand elle me touche. Elle sursaute légèrement et pousse un petit soupire lorsque je nous change de position, cette fois c’est moi qui vais gouter sa douce et belle peau, elle s’agrippe a ma nuque, moi je tient fermement ses reins, et je commence à me délecter d’elle, doucement j’embrasse sa gorge avec de subtils petits baisers, je descend tel un escargot, passant sous mes lèvres chaque millimètre de peau, je ne sais pas si elle me regarde ou si elle regarde ailleurs car mes yeux sont posé sur elle, je profite de ce spectacle qu’elle m’offre. Je la sens se cambrer ses mains sont maintenant sur mes genoux, ma langue au milieux de ses montagnes de bonheur. Cette fois j’attrape son sein gauche avec le bout de mes lèvres et j’en profite, ma main gauche vient attraper le droit, je la caresse enfin comme je le souhaite, j’en veux plus beaucoup plus. Ma Maria, est si douce, j’aime lui donner du plaisir et qu’elle m’en donne. Ma langue fais encore le tour de son sein gauche que j’embrasse de temps en temps.

    Je suis trop bien, nous avons chaud, mon pantalon commence à me serrer un peu trop à gout, vite je dois m’en débarrasser, mais non pas maintenant. Pourvu que personne ne viennent nous déranger, car elle commence de nouveau à gémir j’aime entendre ces petits cris sortir de sa bouche. Malheureusement j’ai l’impression qu’on vient de frapper à la porte, non cela doit être chez le voisin, je reprends mes caresses buccales sur ma petite amie qui gémit de nouveau, et nouveau coup à la porte, bordel mais va ouvrir maudit voisin, réveille toi si tu dors mais fait cesser ce foutu bruit ! Les coups sont de plus en plus proches et plus fort. Je me rend compte que c’est chez nous qu’on frappe. Putain, j’en ai mare d’être interrompu, je veux la pax pour passer du temps avec Maria c’est pas dur à ce que je sache … Je crois que c’est Ayame, mais non c’est trop calme et poli pour que se soit elle ! Non cette voix c’est celle de ma mère qui me demande d’ouvrir … Heu oui mais non j’avais demandé il y a une heure que tout ce passe bien et là cela doit mal ce passer, ma chérie et moi on a la poisse, c’est pas possible autrement.

    Sa voix est toujours aussi douce mais, je m’inquiète, que ce passe t’il ou que c’est il passé ? Maria se redresse en même temps que moi, j’ai pas envie de me lever mais ma mère me demande de lui ouvrir la porte. Elle m’appelle de nouveau, mon père et mon fils doivent être là aussi. Lais d’un coup j’entends le petit commencer à pleurer, je suis de plus en plus inquiet, mais aller ouvrir dans cette tenue non ! Mon bébé ne doit pas pleurer, ma mère me connaissant me rassure tout de suite, mais je ne comprends pas sa crise de larme au ptit gars. Je crie pour prévenir qu’on arrive et puis non je ne bouge pas, je suis bien avec Maria sur mes genoux, j’ai pas envie de la lâcher, j’ai envie de laisser tout le monde dehors mais ma mère m’annonce que le petit pleure après un certain panpan, mon premier réflexe est de me retourner vers ma chérie et de lui demander si c’est pas la peluche qu’elle lui a offert, je la vois froncer les sourcils et elle finit par me répondre « Euh si… peut-être… mais je me souviens l’avoir vu partir avec… je crois… » Je la regarde moi aussi et me gratte le coin de l’œil droit qu’une poussière irritait

    « Moi aussi, en tout cas il ne comptait pas la lâcher. »

    Je prend ma chemise que me tends Maria après s’être levée, elle remet la chemise qu’elle m’a emprunté sans remettre son sous vêtement et cache le reste sous un coussin, parfait on va pouvoir aller ouvrir alors, mais moi je dois me rhabiller aussi, je suis un homme et même si c’est ma mère cela ne se fait pas d’aller ouvrir torse nu. Tandis que je suis entrain de me battre avec ma chemise pour remettre les manches droite, Maria revient de la chambre enfin du couloir qui menait à la chambre ou elle avait préparé les affaires du petit avec la peluche dans ses bras, elle me la montre fièrement, génial, sho va arrêter de pleurer mes parents seront content et on pourra être tranquille avec Maria. Je lui souri et lève le pousse en montrant ma satisfaction, je suis vraiment fier et heureux avec elle, car elle est si merveilleuse enfin elle a toutes les qualité qu’Ayame n’a pas ! Je fini de reboutonner ma chemise quand ma compagne ouvre la porte, le petit quitte vite les bras de sa grand-mère pour aller dans ceux de Maria en voyant la peluche, presque pas intéressé le ptit gars. Nouvelle scène attendrissante « Ne pleure plus, mon bébé. Regarde, Panpan est là, tu l’avais juste laissé à la maison. » Regardez cette maman puissance quatre s’occuper de sa progéniture, je vois mes parents sourire eux aussi en écoutant ce qu’elle dit à leur petit fils, elle marque visiblement des points avec eux, j’en suis certain. Le petit prend vite dans ses petits bras son nouvel ami et le câline déjà de nouveau. Ma chérie se retourne vers moi l’air de dire pousse toi tu vas pas laisser tes parents sur le pallier. Après moi elle s’écarte tout de suite et les invite à entrer « Entrez un instant, pour laisser le temps à Sho-chan de se calmer. Et après, tu retournes avec huh… papi et mamie, d’accord mon cœur ? » Mais oui il va retourner avec les grands parents, j’aime mon fils mais j’aimerais avoir ce weekend pour nous aussi. Le petit monstre commence à avoir le hoquet et commence à ce faire bercer par sa belle maman. Les parents entrés, je regarde le petit se calmer et d’un coup ma mère nous regarde tandis que je suis derrière Maria, elle sourit elle aussi et nous sort sans que je m’y attende

    « J’ai là la vision parfaite d’une famille. Heureuse qui plus ai »

    Pardon ? J’ai bien entendu ? Je ne savais pas que le faite de me mettre derrière ma douce ainsi pouvait avoir une telle influence ou était ce le faite que Maria berce le petit avec autant d’amour qui avait fait réagir ainsi ma mère ?

    « Arrigato Okasan. »

    J’ai des trémolos dans ma voix. Je ne peux d’empêcher de sentir l’émotion m’envahir après les mots de ma mère, je suis fier et j’avoue que j’ai envie de verser une larme mais une larme de joie, oui je suis sensible comme garçon, je l’avoue, mais entendre cela de la part de ma génitrice me fais un plaisir immense, je ne pensais pas que ma petite amie serait tant appréciée. D’un coup c’est mon père qui prend la parole, chose rare quand même, je dois l’avouer, c’est un être chaleureux qui vous montre facilement qu’il vous aime, mais question d’avoir des longues conversation, il n’en était nullement question.

    « Ren, je peux te parler entre homme ? Laissons les femmes s’occuper de Sho . »

    Mon père veux me parler ? Hum ! Que voulait il me dire, j’ai un peu peur connaissant son caractère, mais il est évident que je vais le faire

    « Hi Otosan avec plaisir »

    Nous éloignons laissant les femmes s’occuper du prochain Bakai mâle, celui semble se moquer que son grand père et son père ne s’occupent pas de lui. Nous sommes un peu plus loin et d’un coup il pose mes mains sur mes épaules et commence à me dire

    « Ta mère à raison mon fils, vous formez un beau couple Maria et toi. »

    Nouvel uppercut en plein tête, jamais j’aurais cru entendre ses mots de mon père, de ma mère oui mais pas de lui.

    « Arrigatô Otosan, mais je croyais que … »

    Je me stoppe, je ne veux pas le blesser, je savais qu’il était pour ma relation avec Maria, mais je pensais qu’il préférait Ayame tout de même. Il me reprend tout de suite :

    « Que je préférais Ayame ? Tu te trompes Ren, quand tu étais marié j’ai jamais vu aussi heureux et regarder autant amoureusement Ayame que tu regardes Maria. »

    Je ne savais plus quoi dire alors je souriais bêtement mais je le remerciais

    « Merci Otosan ! »

    « Tu me remercie, si tu es heureux Ren ! Sache le. Allez viens maintenant et rhabille toi comme il faut quand tu viens nous ouvrir. »

    Il finit sa phrase en me mettant une claque derrière la tête, en riant. Je ris moi aussi car je viens de voir que j‘ai sauté un bouton en les refaisant, et nous nous remettons à coté de nos femmes respectives. Ma mère annonce qu’il prendre le départ et rentrer chez eux avec le petit. J’embrasse le petit et laisse les deux femmes s’occuper une nouvelle fois de Sho, je veille toute fois à ce qu’il n’oublie pas sa peluche, tout le monde se salue. La porte se referme et nous voilà de nouveau seul avec Maria, cette fois c’est la bonne j’espère. Je repasse derrière ma chérie et commence à déboutonner la chemise qu’elle porte, elle lui va bien mais j’ai envie d’elle, je fais en sorte qu’elle garde le vêtement un peu mais je viens caresser ses seins alors que je commence à l’embrasser sur le cou, j’ai envie de reprendre là ou nous en étions, personne ne nous arrêtera

    « Je te désire tant mon amour. »

    Mes mains restent là ou elle sont, je la caresse j’ai envie d’elle et je lui fais savoir encore une fois.

    « On retourne sur le canapé ? »

    Ma question n’en est pas vraiment une car c’est plus une invitation, elle peut choisir la chambre si elle veut, le lieu n’est pas important pour moi. Ma priorité c’est elle et uniquement elle. J’attend une réponse de sa part en jouant avec ses mamelons que j’ai très envie d’embrasser. Je suis fou d’elle. Je sais que mon futur est avec elle et uniquement avec elle. Sho aura une bien jolie belle maman.
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Kondo Maria« Kondo Maria »
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Le Roi des Démons nous a maudit. Non seulement il n’est pas content que nous formions le plus beau couple de l’univers, mais en plus, pour nous le faire payer, il s’est associé à Hannya, la déesse mythique des légendes japonaises revenue sur Terre pour se venger de l’homme qui l’a trahie. Ces deux idiots nous voient heureux et presque – puisqu’on n’arrive jamais au bout de ce que l’on veut faire – accomplis et c’est sur nous qu’ils décident de venger en nous faisant payer leur malheur. Avant Ayame, maintenant les parents de Ren et leur petit-fils. Mon bébé pleure après son doudou, les grands-parents sont complètement démunis devant ce petit caprice, mais j’en ai assez. J’ai envie de me mettre en grève, de ne pas leur ouvrir, de les envoyer se faire voir en leur disant de calmer Sho par leurs propres moyens. Ou de pleurer. Envie de pleurer, mais on retient ses larmes tout au fond de sa gorge, on les empêche de remplir ses yeux et on prend sur soi pour aller chercher Panpan. C’est vrai que voir mon petit amour pleurer toutes les larmes de son corps pour son panda en peluche me serre le cœur, mais quand même… Même si Renji sourit, je sais bien qu’il n’est pas plus heureux que moi, qu’il aurait aimé que l’on ne soit pas interrompu. Alors en passant près de lui, je ne peux m’empêcher de glisser une main dans ses cheveux, les effleurant du bout des doigts, promesse silencieuse d’une suite prochaine. Une fois le petit dans les bras, Bakaï-san et moi n’en avons plus que pour lui. Les hommes ? Oh ils trouveront bien quelque chose à faire.

Ren est derrière moi à observer son fils adoré et adorable qui s’est calmé et a à présent le hoquet. Mon bout de chou, impossible de lui résister à vrai dire. Je lui caresse ses petits cheveux encore éparses en l’embrassant. La mère de Ren prend la parole sans que je m’y attende et ce qu’elle nous dit d’une voix attendrie est encore plus inattendu. Tandis que son fils la remercie avec une voix tremblante, je ne peux que rougir en reportant mon attention sur le petit. Une bien étrange famille que la nôtre. Famille recomposée, un père barman élevant seul son fils jusqu’à il y a deux mois, une nouvelle maman étudiante et même pas majeure, un petit bout de deux ans et une belle-mère psychorigide, jalouse et paranoïaque. Normal. Je ne dis rien, gardant mes réflexions pour moi. Je rougis et sourit faiblement. Il n’y a rien à dire. A une personne normale, ces mots auraient été des compliments. Pour moi, ils ne le sont pas. Alors je me contente de concentrer toute mon attention et mon énergie à calmer Sho. C’est la voix du père de Ren que j’entends alors pour la première fois. Une voix étrangement grave et douce pour un japonais. Mais c’est quoi ce délire masculin qui consiste à laisser les femmes s’occuper des gosses et d’aller discuter entre eux. Macho, va. Ça aussi je le garde pour moi. Surtout ça en fait. Je ne crois pas que cette remarque aurait plu au patriarche Bakaï. Entre nous, cela ne me dérange pas de m’occuper du petit bout, mais c’est la manière de le dire qui est particulièrement insupportable. Renji n’a pas l’air dérangé par sa manière de parler. Il doit avoir l’habitude et le suit avec plaisir même.

Un peu perplexe, je reste seule avec Sho et sa grand-mère. Ils sont trop loin et parlent trop bas pour me permettre d’entendre quoi que ce soit, même en tendant l’oreille. Il faut dire qu’être presque sourde d’une oreille, ça n’aide pas vraiment à espionner les conversations. Alors je me contente de m’assoir sur le canapé, volontairement sur le coussin sous lequel sont cachés mes vêtements, laissant la mère s’assoir à côté de moi pour faire des grimaces à son petit-fils dans l’espoir qu’il rit. Elle sait que c’est mauvais pour lui s’il rit avec le hoquet ? Alors je le soulève en le prenant doucement sous les aisselles et l’approche de moi pour l’embrasser doucement. Il ne rit plus, ne pleure plus, et ses hoquets sont de plus en plus espacés. Des éclats de rire retentissent derrière nous. Instinctivement, je me retourne et trouve Renji et son père en train de rire de bon cœur. Je ne sais pas exactement ce qui me prend. Quand il vient enfin me rejoindre sur le canapé, je pose une main sur sa joue pour lui faire tourner la tête, sans lâcher Sho, et l’embrasse doucement. Au Japon, ça ne se fait pas, je le sais. Les démonstrations d’amour se font dans l’intimité, pas en public. Mais que ses parents apprécient ou pas, à vrai dire, ça m’est un peu égal. Il fallait juste que je puisse l’embrasser avant de mourir d’ennui ou de désir. Au choix. Je crois que c’est sa mère qui glousse derrière moi et le petit se cramponne au col de la chemise. Super, il va me l’arracher et je vais me retrouver les seins nus devant ses grands-parents. La situation catastrophique, j’ai envie de dire.

Heureusement, c’est la mère de Ren qui réagit en premier quand nous nous écartons – vite avant que Sho ne m’arrache cette foutue chemise – et annonce qu’ils vont s’en retourner. Voilà, bonne idée. Excellente même. Je lui rends Sho et même pas une minute plus tard, ils sont partis. Involontairement, un soupire m’échappe mais je reste comme une idiote à sourire à la porte. Il a sa peluche au moins cette fois ? Oui, je suis sûre de l’avoir vu partir avec. Il est forcément parti avec, sinon je n’ouvre plus et je menotte Ren au lit pour qu’il n’y aille pas non plus. De toute façon il ne l’a pas oubliée c’est… Aaah. Merde. Ses mains. Je n’avais pas senti Ren déboutonner cette chemise, mais ses mains qui ont retrouvé leur place sur mes seins, je les sens plus que jamais. Ses baisers dans mon cou aussi. Lentement, je penche la tête en avant pour lui laisser libre accès à tout ce qu’il veut, gardant les bras le long du corps. Son murmure envoie un souffle chaud dans mon cou. Délicieux. Je ferme les yeux. Un deuxième souffle chaud. Retourner sur le canapé ? Ce canapé dur et inconfortable sur lequel on a commencé ? Même pas en rêve. Je vais faire ma sale gamine capricieuse mais le lit est plus tentant. Quoique le canapé est plus proche aussi… Ah mon dieu. Ses mains m’empêchent de réfléchir correctement. S’il veut me faire mourir, c’est le bon moyen. Les lèvres entrouvertes, je n’arrive pas vraiment à articuler. Alors je me retourne un peu brusquement et l’attrape par le col pour l’embrasser. Ce n’est même plus un baiser, je le mange, lui dévore la bouche. Avant de nous asphyxier, je le relâche mais m’écarte à peine, gardant mes lèvres contre les siennes.
    « La chambre… »
Sans un mot de plus et surtout sans me détacher de lui, je nous entraîne à travers le salon, tout le long du couloir jusqu’à la porte dont la chambre est ouverte. Par chance – ou alors encore un coup du destin – nous ne percutons aucun objet contondant sur lequel nous aurions pu nous tuer. Comme dans les films, mes genoux butent contre le lit et j’y tombe. Seulement, moi contrairement à ces bécasses dans les films romantiques, je n’ai pas le réflexe d’entraîner Ren dans ma chute. Alors j’en profite, je rampe en arrière jusqu’à me laisser retomber sur les coussins. A cause de moi, le couvre-lit est froissé mais je m’en fous. Ma main se tend vers Renji pour lui intimer de venir. Une fois lui sur moi – son poids est délicieusement appréciable – je me jette de nouveau sur sa bouche comme une affamée, déboutonnant la chemise qu’il avait mal remis. Je crois que le dernier bouton saute, mais tant pis, je le recoudrais plus tard. Bien vite, la chemise est repoussée jusque sur la moquette. Immédiatement, mes mains sont partout sur son torse. J’ai envie de lui à un point inimaginable. Glissant mes lèvres près de son oreille, je chuchote :
    « Peu m’importe le romantisme ou la douceur, je te veux toi et seulement toi. »
Sans lui laisser le temps de répliquer, j’ai de nouveau mes lèvres sur les siennes et les mains qui errent dangereusement au niveau de sa ceinture.
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